Italie

En Italie, Fratelli d'Italia reste le premier parti. Comme prévu, la Lega de Salvini s’effondre — en perdant plus de 20 points par rapport au scrutin de 2019, derrière Forza Italia. Le Mouvement 5 étoiles stagne à 12 % des voix. Le Parti démocrate de son côté continue sa progression.

Données issues des estimations du Parlement européen. Cette page sera mise à jour en fonction des résultats officiels au cours de la soirée. En Italie, Fratelli d'Italia reste le premier parti. Comme prévu, la Lega de Salvini s’effondre — en perdant plus de 20 points par rapport au scrutin de 2019, derrière Forza Italia. Le Mouvement 5 étoiles stagne à 12 % des voix. Le Parti démocrate de son côté continue sa progression.

Données issues des estimations du Parlement européen. Cette page sera mise à jour en fonction des résultats officiels au cours de la soirée. En Italie, Fratelli d'Italia reste le premier parti. Comme prévu, la Lega de Salvini s’effondre — en perdant plus de 20 points par rapport au scrutin de 2019, derrière Forza Italia. Le Mouvement 5 étoiles stagne à 12 % des voix. Le Parti démocrate de son côté continue sa progression.

Données issues des estimations du Parlement européen. Cette page sera mise à jour en fonction des résultats officiels au cours de la soirée.

Le candidat à la présidence de la Sardaigne issu de la coalition de Giorgia Meloni a perdu les élections régionales de ce week-end face à la candidate du Mouvement 5 étoiles Alessandra Todde, élue avec 45,4 % des voix. Il s’agit de la première défaite électorale de Meloni depuis son arrivée au pouvoir en octobre 2022. Le candidat à la présidence de la Sardaigne issu de la coalition de Giorgia Meloni a perdu les élections régionales de ce week-end face à la candidate du Mouvement 5 étoiles Alessandra Todde, élue avec 45,4 % des voix. Il s’agit de la première défaite électorale de Meloni depuis son arrivée au pouvoir en octobre 2022. Le candidat à la présidence de la Sardaigne issu de la coalition de Giorgia Meloni a perdu les élections régionales de ce week-end face à la candidate du Mouvement 5 étoiles Alessandra Todde, élue avec 45,4 % des voix. Il s’agit de la première défaite électorale de Meloni depuis son arrivée au pouvoir en octobre 2022.

Lundi 29 janvier, la Cour constitutionnelle albanaise a autorisé un accord permettant le transfert et l’externalisation des procédures de demandes d’asile de demandeurs d’asile arrivant en Italie par voie maritime. Le même jour, Meloni accueillait un sommet Italie-Afrique à Rome et annonçait de nouveaux investissements pour construire des « alternatives à la migration de masse ». Lundi 29 janvier, la Cour constitutionnelle albanaise a autorisé un accord permettant le transfert et l’externalisation des procédures de demandes d’asile de demandeurs d’asile arrivant en Italie par voie maritime. Le même jour, Meloni accueillait un sommet Italie-Afrique à Rome et annonçait de nouveaux investissements pour construire des « alternatives à la migration de masse ». Lundi 29 janvier, la Cour constitutionnelle albanaise a autorisé un accord permettant le transfert et l’externalisation des procédures de demandes d’asile de demandeurs d’asile arrivant en Italie par voie maritime. Le même jour, Meloni accueillait un sommet Italie-Afrique à Rome et annonçait de nouveaux investissements pour construire des « alternatives à la migration de masse ».

En amont du sommet Union européenne-Chine prévu ce jeudi 7 décembre à Pékin, l’Italie a officiellement — et discrètement — quitté l’initiative chinoise des nouvelles routes de la soie.
En amont du sommet Union européenne-Chine prévu ce jeudi 7 décembre à Pékin, l’Italie a officiellement — et discrètement — quitté l’initiative chinoise des nouvelles routes de la soie.
En amont du sommet Union européenne-Chine prévu ce jeudi 7 décembre à Pékin, l’Italie a officiellement — et discrètement — quitté l’initiative chinoise des nouvelles routes de la soie.

Au seizième jour de la guerre de Soukkot, les autorités israéliennes ont demandé l’évacuation de 14 localités supplémentaires du côté israélien de la frontière avec le Liban, alors que les tensions augmentent. Les frappes aériennes sur Gaza menées par l’armée israélienne se sont intensifiées et la Cisjordanie a été frappée. Un point de situation à 19h30 (Paris). Au seizième jour de la guerre de Soukkot, les autorités israéliennes ont demandé l’évacuation de 14 localités supplémentaires du côté israélien de la frontière avec le Liban, alors que les tensions augmentent. Les frappes aériennes sur Gaza menées par l’armée israélienne se sont intensifiées et la Cisjordanie a été frappée. Un point de situation à 19h30 (Paris). Au seizième jour de la guerre de Soukkot, les autorités israéliennes ont demandé l’évacuation de 14 localités supplémentaires du côté israélien de la frontière avec le Liban, alors que les tensions augmentent. Les frappes aériennes sur Gaza menées par l’armée israélienne se sont intensifiées et la Cisjordanie a été frappée. Un point de situation à 19h30 (Paris).

Avec ses 3167 jours au Quirinal — depuis le 3 février 2015 — Sergio Mattarella devient aujourd’hui le Président de la République italienne ayant servi le plus longtemps, dépassant ainsi « le roi » Giorgio Napolitano. La Constitution italienne prévoit un mandat de sept ans, confié par une majorité de députés, sénateurs et représentants des régions. Avec ses 3167 jours au Quirinal — depuis le 3 février 2015 — Sergio Mattarella devient aujourd’hui le Président de la République italienne ayant servi le plus longtemps, dépassant ainsi « le roi » Giorgio Napolitano. La Constitution italienne prévoit un mandat de sept ans, confié par une majorité de députés, sénateurs et représentants des régions. Avec ses 3167 jours au Quirinal — depuis le 3 février 2015 — Sergio Mattarella devient aujourd’hui le Président de la République italienne ayant servi le plus longtemps, dépassant ainsi « le roi » Giorgio Napolitano. La Constitution italienne prévoit un mandat de sept ans, confié par une majorité de députés, sénateurs et représentants des régions.

Depuis mardi 12 septembre, le débarquement d’un nombre inhabituellement élevé de demandeurs d’asile sur l’île italienne de Lampedusa a lancé une séquence politique transnationale majeure. Depuis mardi 12 septembre, le débarquement d’un nombre inhabituellement élevé de demandeurs d’asile sur l’île italienne de Lampedusa a lancé une séquence politique transnationale majeure. Depuis mardi 12 septembre, le débarquement d’un nombre inhabituellement élevé de demandeurs d’asile sur l’île italienne de Lampedusa a lancé une séquence politique transnationale majeure.

Dans une rentrée politique italienne agitée et alors que l’équilibre techno-souverainiste de Meloni chancelle, un membre de premier plan de la Ligue, diplômé de la Bocconi et ministre de l'Économie italien proche de la ligne Draghi, est au centre d’un jeu complexe. Giancarlo Giorgetti pourrait devenir la première cible de ceux qui, au sein du gouvernement, ont l'intention de faire exploser la loi de finances. Portrait synthétique d’une figure clef. Dans une rentrée politique italienne agitée et alors que l’équilibre techno-souverainiste de Meloni chancelle, un membre de premier plan de la Ligue, diplômé de la Bocconi et ministre de l'Économie italien proche de la ligne Draghi, est au centre d’un jeu complexe. Giancarlo Giorgetti pourrait devenir la première cible de ceux qui, au sein du gouvernement, ont l'intention de faire exploser la loi de finances. Portrait synthétique d’une figure clef. Dans une rentrée politique italienne agitée et alors que l’équilibre techno-souverainiste de Meloni chancelle, un membre de premier plan de la Ligue, diplômé de la Bocconi et ministre de l'Économie italien proche de la ligne Draghi, est au centre d’un jeu complexe. Giancarlo Giorgetti pourrait devenir la première cible de ceux qui, au sein du gouvernement, ont l'intention de faire exploser la loi de finances. Portrait synthétique d’une figure clef.

Plus de 7 000 demandeurs d’asile sont arrivés depuis le 12 septembre sur l’île de Lampedusa, dépassant largement les capacités du centre d’accueil et d’identification des migrants. Le système européen d’asile — à seulement quelques mois depuis l’accord sur le nouveau Pacte sur l’asile et la migration — est à nouveau remis en question. Plus de 7 000 demandeurs d’asile sont arrivés depuis le 12 septembre sur l’île de Lampedusa, dépassant largement les capacités du centre d’accueil et d’identification des migrants. Le système européen d’asile — à seulement quelques mois depuis l’accord sur le nouveau Pacte sur l’asile et la migration — est à nouveau remis en question. Plus de 7 000 demandeurs d’asile sont arrivés depuis le 12 septembre sur l’île de Lampedusa, dépassant largement les capacités du centre d’accueil et d’identification des migrants. Le système européen d’asile — à seulement quelques mois depuis l’accord sur le nouveau Pacte sur l’asile et la migration — est à nouveau remis en question.

Le ministre des affaires étrangères italien effectue du 3 au 5 septembre une visite de deux jours en Chine. D'ici la fin de l'année, l'Italie devra décider de renouveler ou non le protocole d’accord « non contraignant » qui avait acté en 2019 la participation de l’Italie aux Nouvelles routes de la soie. Si la sortie de Rome est probable, les deux parties semblent vouloir éviter une confrontation diplomatique. Le ministre des affaires étrangères italien effectue du 3 au 5 septembre une visite de deux jours en Chine. D'ici la fin de l'année, l'Italie devra décider de renouveler ou non le protocole d’accord « non contraignant » qui avait acté en 2019 la participation de l’Italie aux Nouvelles routes de la soie. Si la sortie de Rome est probable, les deux parties semblent vouloir éviter une confrontation diplomatique. Le ministre des affaires étrangères italien effectue du 3 au 5 septembre une visite de deux jours en Chine. D'ici la fin de l'année, l'Italie devra décider de renouveler ou non le protocole d’accord « non contraignant » qui avait acté en 2019 la participation de l’Italie aux Nouvelles routes de la soie. Si la sortie de Rome est probable, les deux parties semblent vouloir éviter une confrontation diplomatique.

Lors de sa visite à Washington la semaine dernière, la Première ministre italienne a été reçue comme une « amie » par Joe Biden, bien loin des considérations pessimistes liées à la couleur politique du parti de Meloni exprimées par le président américain en septembre dernier. Dimanche 30 juillet, le ministre de la Défense italien a quant à lui réitéré la volonté de Rome de se retirer des Nouvelles routes de la soie. Lors de sa visite à Washington la semaine dernière, la Première ministre italienne a été reçue comme une « amie » par Joe Biden, bien loin des considérations pessimistes liées à la couleur politique du parti de Meloni exprimées par le président américain en septembre dernier. Dimanche 30 juillet, le ministre de la Défense italien a quant à lui réitéré la volonté de Rome de se retirer des Nouvelles routes de la soie. Lors de sa visite à Washington la semaine dernière, la Première ministre italienne a été reçue comme une « amie » par Joe Biden, bien loin des considérations pessimistes liées à la couleur politique du parti de Meloni exprimées par le président américain en septembre dernier. Dimanche 30 juillet, le ministre de la Défense italien a quant à lui réitéré la volonté de Rome de se retirer des Nouvelles routes de la soie.

Giorgia Meloni et Emmanuel Macron se rencontreront à Paris ce mardi 20 juin 2023, au palais de l'Élysée, lors de leur première rencontre bilatérale excluant les réunions informelles en marge des nombreux sommets multilatéraux auxquels ils ont participé au cours de l'année. Giorgia Meloni et Emmanuel Macron se rencontreront à Paris ce mardi 20 juin 2023, au palais de l'Élysée, lors de leur première rencontre bilatérale excluant les réunions informelles en marge des nombreux sommets multilatéraux auxquels ils ont participé au cours de l'année. Giorgia Meloni et Emmanuel Macron se rencontreront à Paris ce mardi 20 juin 2023, au palais de l'Élysée, lors de leur première rencontre bilatérale excluant les réunions informelles en marge des nombreux sommets multilatéraux auxquels ils ont participé au cours de l'année.

Après de longues négociations, l'Italie a voté en faveur de la réforme du système d’asile européen. Compte tenu des positions très dures du gouvernement Meloni ces derniers mois, qui a fait de l'immigration l'un des principaux thèmes de l'action de l'exécutif, en adoptant de nouvelles lois particulièrement strictes à l'égard des activités des ONG impliquées dans l'accueil et le sauvetage des migrants en mer, le vote de l’Italie était loin d’être acquis jusqu’au dernier moment. Après de longues négociations, l'Italie a voté en faveur de la réforme du système d’asile européen. Compte tenu des positions très dures du gouvernement Meloni ces derniers mois, qui a fait de l'immigration l'un des principaux thèmes de l'action de l'exécutif, en adoptant de nouvelles lois particulièrement strictes à l'égard des activités des ONG impliquées dans l'accueil et le sauvetage des migrants en mer, le vote de l’Italie était loin d’être acquis jusqu’au dernier moment. Après de longues négociations, l'Italie a voté en faveur de la réforme du système d’asile européen. Compte tenu des positions très dures du gouvernement Meloni ces derniers mois, qui a fait de l'immigration l'un des principaux thèmes de l'action de l'exécutif, en adoptant de nouvelles lois particulièrement strictes à l'égard des activités des ONG impliquées dans l'accueil et le sauvetage des migrants en mer, le vote de l’Italie était loin d’être acquis jusqu’au dernier moment.

Rome, qui veut soutenir ses entreprises stratégiques, vient de créer un vecteur qui devrait garantir l'investissement et la protection des secteurs critiques. Rome, qui veut soutenir ses entreprises stratégiques, vient de créer un vecteur qui devrait garantir l'investissement et la protection des secteurs critiques. Rome, qui veut soutenir ses entreprises stratégiques, vient de créer un vecteur qui devrait garantir l'investissement et la protection des secteurs critiques.

En mars 2019, l'Italie a signé un Mémorandum d'entente pour rejoindre les Nouvelles routes de la soie, devenant le seul pays du G7 à en faire partie. À l’époque, le gouvernement dirigé par Giuseppe Conte, soutenu par une coalition composée de la Ligue et du Mouvement 5 étoiles, avait justifié son choix par la nécessité d'améliorer les relations commerciales et politiques du pays. En mars 2019, l'Italie a signé un Mémorandum d'entente pour rejoindre les Nouvelles routes de la soie, devenant le seul pays du G7 à en faire partie. À l’époque, le gouvernement dirigé par Giuseppe Conte, soutenu par une coalition composée de la Ligue et du Mouvement 5 étoiles, avait justifié son choix par la nécessité d'améliorer les relations commerciales et politiques du pays. En mars 2019, l'Italie a signé un Mémorandum d'entente pour rejoindre les Nouvelles routes de la soie, devenant le seul pays du G7 à en faire partie. À l’époque, le gouvernement dirigé par Giuseppe Conte, soutenu par une coalition composée de la Ligue et du Mouvement 5 étoiles, avait justifié son choix par la nécessité d'améliorer les relations commerciales et politiques du pays.

Jeudi 27 avril, le Premier ministre italien Giorgia Meloni a rencontré le Premier ministre britannique Rishi Sunak à Londres. Il s'agit de la première rencontre bilatérale entre ces deux chefs de gouvernement qui poursuivent une ligne politique très similaire. Jeudi 27 avril, le Premier ministre italien Giorgia Meloni a rencontré le Premier ministre britannique Rishi Sunak à Londres. Il s'agit de la première rencontre bilatérale entre ces deux chefs de gouvernement qui poursuivent une ligne politique très similaire. Jeudi 27 avril, le Premier ministre italien Giorgia Meloni a rencontré le Premier ministre britannique Rishi Sunak à Londres. Il s'agit de la première rencontre bilatérale entre ces deux chefs de gouvernement qui poursuivent une ligne politique très similaire.

Giorgia Meloni a annoncé un plan qui devrait permettre de renforcer les relations avec le continent africain. Bien que ses contours ne soient pas encore clairs, la logique paraît simple : il est probable que Rome ait l'intention d'utiliser des accords énergétiques et des plans d'aide aux économies africaines en échange d'une réduction des flux migratoires. Giorgia Meloni a annoncé un plan qui devrait permettre de renforcer les relations avec le continent africain. Bien que ses contours ne soient pas encore clairs, la logique paraît simple : il est probable que Rome ait l'intention d'utiliser des accords énergétiques et des plans d'aide aux économies africaines en échange d'une réduction des flux migratoires. Giorgia Meloni a annoncé un plan qui devrait permettre de renforcer les relations avec le continent africain. Bien que ses contours ne soient pas encore clairs, la logique paraît simple : il est probable que Rome ait l'intention d'utiliser des accords énergétiques et des plans d'aide aux économies africaines en échange d'une réduction des flux migratoires.

Face à l'augmentation du nombre de débarquements sur les côtes italiennes, le gouvernement de Giorgia Meloni a décrété mardi 11 avril l'état d'urgence, couvrant l'ensemble du territoire national, pour une durée de six mois. Face à l'augmentation du nombre de débarquements sur les côtes italiennes, le gouvernement de Giorgia Meloni a décrété mardi 11 avril l'état d'urgence, couvrant l'ensemble du territoire national, pour une durée de six mois. Face à l'augmentation du nombre de débarquements sur les côtes italiennes, le gouvernement de Giorgia Meloni a décrété mardi 11 avril l'état d'urgence, couvrant l'ensemble du territoire national, pour une durée de six mois.

Entre le mercredi 12 avril et le jeudi 13 avril, le gouvernement italien a annoncé des nominations au sein des principales entreprises contrôlées par l'État. Celles-ci, d'une durée de trois ans, concernent les géants du capitalisme politique italien (ENI, ENEL, la Terna, Poste Italiane et Leonardo). Les choix de Meloni privilégient une forme de continuité techno-souverainiste : l'exécutif a préféré ne pas miser sur une nouvelle génération de dirigeants d'État, ni promouvoir un personnel trop marqué politiquement, en s’appuyant plutôt sur une technocratie reconnue, susceptible de rassurer les instances nationales et internationales. Entre le mercredi 12 avril et le jeudi 13 avril, le gouvernement italien a annoncé des nominations au sein des principales entreprises contrôlées par l'État. Celles-ci, d'une durée de trois ans, concernent les géants du capitalisme politique italien (ENI, ENEL, la Terna, Poste Italiane et Leonardo). Les choix de Meloni privilégient une forme de continuité techno-souverainiste : l'exécutif a préféré ne pas miser sur une nouvelle génération de dirigeants d'État, ni promouvoir un personnel trop marqué politiquement, en s’appuyant plutôt sur une technocratie reconnue, susceptible de rassurer les instances nationales et internationales. Entre le mercredi 12 avril et le jeudi 13 avril, le gouvernement italien a annoncé des nominations au sein des principales entreprises contrôlées par l'État. Celles-ci, d'une durée de trois ans, concernent les géants du capitalisme politique italien (ENI, ENEL, la Terna, Poste Italiane et Leonardo). Les choix de Meloni privilégient une forme de continuité techno-souverainiste : l'exécutif a préféré ne pas miser sur une nouvelle génération de dirigeants d'État, ni promouvoir un personnel trop marqué politiquement, en s’appuyant plutôt sur une technocratie reconnue, susceptible de rassurer les instances nationales et internationales.

Ce mercredi, le leader du Mouvement 5 étoiles, Giuseppe Conte, se rendra à Bruxelles pour rencontrer les députés européens des Verts/ALE et les convaincre d'accepter l'adhésion du mouvement dans leur groupe. La stratégie de l'ancien président du Conseil est de s'enraciner en tant que force de gauche en Europe, et ainsi rester compétitif face au Parti démocrate, revitalisé par la victoire au congrès d'Elly Schlein Ce mercredi, le leader du Mouvement 5 étoiles, Giuseppe Conte, se rendra à Bruxelles pour rencontrer les députés européens des Verts/ALE et les convaincre d'accepter l'adhésion du mouvement dans leur groupe. La stratégie de l'ancien président du Conseil est de s'enraciner en tant que force de gauche en Europe, et ainsi rester compétitif face au Parti démocrate, revitalisé par la victoire au congrès d'Elly Schlein Ce mercredi, le leader du Mouvement 5 étoiles, Giuseppe Conte, se rendra à Bruxelles pour rencontrer les députés européens des Verts/ALE et les convaincre d'accepter l'adhésion du mouvement dans leur groupe. La stratégie de l'ancien président du Conseil est de s'enraciner en tant que force de gauche en Europe, et ainsi rester compétitif face au Parti démocrate, revitalisé par la victoire au congrès d'Elly Schlein

Les victoires dans le Latium et en Lombardie confirment l'hégémonie de Fratelli d'Italia, de la Ligue et de Forza Italia. Si la coalition de droite dirigée par Giorgia Meloni en sort renforcée politiquement, ce succès dans les urnes est heurté par les répercussions des déclarations de Silvio Berlusconi — qui relaie à nouveau les éléments de langage du Kremlin sur l'Ukraine. Entre son allié de coalition et sa promesse de se rendre à Kiev, la Présidente du Conseil marche sur une ligne de crête. Les victoires dans le Latium et en Lombardie confirment l'hégémonie de Fratelli d'Italia, de la Ligue et de Forza Italia. Si la coalition de droite dirigée par Giorgia Meloni en sort renforcée politiquement, ce succès dans les urnes est heurté par les répercussions des déclarations de Silvio Berlusconi — qui relaie à nouveau les éléments de langage du Kremlin sur l'Ukraine. Entre son allié de coalition et sa promesse de se rendre à Kiev, la Présidente du Conseil marche sur une ligne de crête. Les victoires dans le Latium et en Lombardie confirment l'hégémonie de Fratelli d'Italia, de la Ligue et de Forza Italia. Si la coalition de droite dirigée par Giorgia Meloni en sort renforcée politiquement, ce succès dans les urnes est heurté par les répercussions des déclarations de Silvio Berlusconi — qui relaie à nouveau les éléments de langage du Kremlin sur l'Ukraine. Entre son allié de coalition et sa promesse de se rendre à Kiev, la Présidente du Conseil marche sur une ligne de crête.

Dans la soirée d’hier, le président français a rencontré la fraîchement nommée présidente du Conseil des ministres italien Giorgia Meloni, dans un hôtel du centre-ville romain. De l’autre côté des Alpes, cette rencontre a suscité de vives critiques par l'opposition en ce qu’elle traduirait un « manque de réserve » de la part d’Emmanuel Macron vis-à-vis de son homologue d’extrême-droite. Dans la soirée d’hier, le président français a rencontré la fraîchement nommée présidente du Conseil des ministres italien Giorgia Meloni, dans un hôtel du centre-ville romain. De l’autre côté des Alpes, cette rencontre a suscité de vives critiques par l'opposition en ce qu’elle traduirait un « manque de réserve » de la part d’Emmanuel Macron vis-à-vis de son homologue d’extrême-droite. Dans la soirée d’hier, le président français a rencontré la fraîchement nommée présidente du Conseil des ministres italien Giorgia Meloni, dans un hôtel du centre-ville romain. De l’autre côté des Alpes, cette rencontre a suscité de vives critiques par l'opposition en ce qu’elle traduirait un « manque de réserve » de la part d’Emmanuel Macron vis-à-vis de son homologue d’extrême-droite.

Aujourd’hui à 10h, Giorgia Meloni va faire son sermon en tant que première femme Présidente du Conseil des ministres italien. Avec elle jureront les 24 ministres qui composent le prochain gouvernement, dont les noms ont été révélés hier dans la soirée. Aujourd’hui à 10h, Giorgia Meloni va faire son sermon en tant que première femme Présidente du Conseil des ministres italien. Avec elle jureront les 24 ministres qui composent le prochain gouvernement, dont les noms ont été révélés hier dans la soirée. Aujourd’hui à 10h, Giorgia Meloni va faire son sermon en tant que première femme Présidente du Conseil des ministres italien. Avec elle jureront les 24 ministres qui composent le prochain gouvernement, dont les noms ont été révélés hier dans la soirée.

Aujourd’hui s’ouvrent les travaux du nouveau Parlement italien, issu des dernières élections de fin septembre. L’ordre du jour à Montecitorio (Chambre des députés) et à Palazzo Madama (Sénat de la République) prévoit l’élection des présidents des deux branches du Parlement qui, pour la première fois, compte seulement 600 membres – 400 députés et 200 sénateurs. Aujourd’hui s’ouvrent les travaux du nouveau Parlement italien, issu des dernières élections de fin septembre. L’ordre du jour à Montecitorio (Chambre des députés) et à Palazzo Madama (Sénat de la République) prévoit l’élection des présidents des deux branches du Parlement qui, pour la première fois, compte seulement 600 membres – 400 députés et 200 sénateurs. Aujourd’hui s’ouvrent les travaux du nouveau Parlement italien, issu des dernières élections de fin septembre. L’ordre du jour à Montecitorio (Chambre des députés) et à Palazzo Madama (Sénat de la République) prévoit l’élection des présidents des deux branches du Parlement qui, pour la première fois, compte seulement 600 membres – 400 députés et 200 sénateurs.

Dimanche dernier, la coalition regroupant les principaux partis de droite et d’extrême droite italiens remportait la majorité des voix aux élections générales. Tandis que la dimension européenne du programme de Meloni est incertaine, des membres du Parti populaire européen (dont est membre Forza Italia) ont critiqué le rôle joué par son président dans la campagne italienne. Dimanche dernier, la coalition regroupant les principaux partis de droite et d’extrême droite italiens remportait la majorité des voix aux élections générales. Tandis que la dimension européenne du programme de Meloni est incertaine, des membres du Parti populaire européen (dont est membre Forza Italia) ont critiqué le rôle joué par son président dans la campagne italienne. Dimanche dernier, la coalition regroupant les principaux partis de droite et d’extrême droite italiens remportait la majorité des voix aux élections générales. Tandis que la dimension européenne du programme de Meloni est incertaine, des membres du Parti populaire européen (dont est membre Forza Italia) ont critiqué le rôle joué par son président dans la campagne italienne.

Dimanche dernier, les élections renouvelant les élus du Parlement régional de Sicile, marquées par une abstention massive, se sont tenues en même temps que les élections générales italiennes. C’est la liste de centre-droit qui est arrivée en tête avec plus de 40 % des suffrages, conduisant Renato Schifani (Forza Italia) à la présidence de la région. Dimanche dernier, les élections renouvelant les élus du Parlement régional de Sicile, marquées par une abstention massive, se sont tenues en même temps que les élections générales italiennes. C’est la liste de centre-droit qui est arrivée en tête avec plus de 40 % des suffrages, conduisant Renato Schifani (Forza Italia) à la présidence de la région. Dimanche dernier, les élections renouvelant les élus du Parlement régional de Sicile, marquées par une abstention massive, se sont tenues en même temps que les élections générales italiennes. C’est la liste de centre-droit qui est arrivée en tête avec plus de 40 % des suffrages, conduisant Renato Schifani (Forza Italia) à la présidence de la région.

Pendant une semaine, la vie politique italienne sera rythmée par l’élection présidentielle. Dans un pays où l’opinion publique est fortement clivée, Mario Draghi a réussi depuis février 2021 à apaiser les tensions politiques au sein de la péninsule italienne. Candidat à la présidence de la République, l'ancien président de la BCE apparaît comme le grand favori pour intégrer le palais du Quirinal. Qu’il soit élu ou non, cette élection pourrait bien plonger l’Italie dans une nouvelle crise institutionnelle. Quatre points et un graphique pour comprendre cette séquence cruciale. Pendant une semaine, la vie politique italienne sera rythmée par l’élection présidentielle. Dans un pays où l’opinion publique est fortement clivée, Mario Draghi a réussi depuis février 2021 à apaiser les tensions politiques au sein de la péninsule italienne. Candidat à la présidence de la République, l'ancien président de la BCE apparaît comme le grand favori pour intégrer le palais du Quirinal. Qu’il soit élu ou non, cette élection pourrait bien plonger l’Italie dans une nouvelle crise institutionnelle. Quatre points et un graphique pour comprendre cette séquence cruciale. Pendant une semaine, la vie politique italienne sera rythmée par l’élection présidentielle. Dans un pays où l’opinion publique est fortement clivée, Mario Draghi a réussi depuis février 2021 à apaiser les tensions politiques au sein de la péninsule italienne. Candidat à la présidence de la République, l'ancien président de la BCE apparaît comme le grand favori pour intégrer le palais du Quirinal. Qu’il soit élu ou non, cette élection pourrait bien plonger l’Italie dans une nouvelle crise institutionnelle. Quatre points et un graphique pour comprendre cette séquence cruciale.

Demain, Emmanuel Macron se rendra à Rome pour signer le traité du Quirinal, cadre renouvelé de la coopération entre la France et l’Italie. Beaucoup d’éléments ambitieux concernant la coordination entre les deux pays se retrouveront dans le document final. Demain, Emmanuel Macron se rendra à Rome pour signer le traité du Quirinal, cadre renouvelé de la coopération entre la France et l’Italie. Beaucoup d’éléments ambitieux concernant la coordination entre les deux pays se retrouveront dans le document final. Demain, Emmanuel Macron se rendra à Rome pour signer le traité du Quirinal, cadre renouvelé de la coopération entre la France et l’Italie. Beaucoup d’éléments ambitieux concernant la coordination entre les deux pays se retrouveront dans le document final.

Dimanche et lundi, le second tour des élections locales a eu lieu dans de nombreuses municipalités italiennes. Au cumul des deux tours, le centre-gauche l'a emporté dans 58 des 119 municipalités de plus de 15 000 habitants. Résumé en cinq points. Dimanche et lundi, le second tour des élections locales a eu lieu dans de nombreuses municipalités italiennes. Au cumul des deux tours, le centre-gauche l'a emporté dans 58 des 119 municipalités de plus de 15 000 habitants. Résumé en cinq points. Dimanche et lundi, le second tour des élections locales a eu lieu dans de nombreuses municipalités italiennes. Au cumul des deux tours, le centre-gauche l'a emporté dans 58 des 119 municipalités de plus de 15 000 habitants. Résumé en cinq points.

Hier et aujourd’hui, on votait aux municipales ainsi qu’à des élections partielles en Italie. Malgré la force de la droite et de l’extrême droite dans les sondages au niveau national, dans trois grandes villes (Milan, Naples et Bologne) le centre gauche l’emporterait dès le premier tour avec plus de 50 % des suffrages. Hier et aujourd’hui, on votait aux municipales ainsi qu’à des élections partielles en Italie. Malgré la force de la droite et de l’extrême droite dans les sondages au niveau national, dans trois grandes villes (Milan, Naples et Bologne) le centre gauche l’emporterait dès le premier tour avec plus de 50 % des suffrages. Hier et aujourd’hui, on votait aux municipales ainsi qu’à des élections partielles en Italie. Malgré la force de la droite et de l’extrême droite dans les sondages au niveau national, dans trois grandes villes (Milan, Naples et Bologne) le centre gauche l’emporterait dès le premier tour avec plus de 50 % des suffrages.

Depuis samedi 3 juillet le président italien, Sergio Mattarella, est en visite officielle en France. Un entretien est prévu aujourd'hui dans la matinée avec Emmanuel Macron, suivi d’un dîner d’État donné en son honneur à l’Élysée. Nous vous proposons six points synthétiques pour saisir les enjeux liés à cette visite. Depuis samedi 3 juillet le président italien, Sergio Mattarella, est en visite officielle en France. Un entretien est prévu aujourd'hui dans la matinée avec Emmanuel Macron, suivi d’un dîner d’État donné en son honneur à l’Élysée. Nous vous proposons six points synthétiques pour saisir les enjeux liés à cette visite. Depuis samedi 3 juillet le président italien, Sergio Mattarella, est en visite officielle en France. Un entretien est prévu aujourd'hui dans la matinée avec Emmanuel Macron, suivi d’un dîner d’État donné en son honneur à l’Élysée. Nous vous proposons six points synthétiques pour saisir les enjeux liés à cette visite.

Aujourd’hui commence une semaine qui devrait définir l’avenir des configurations politiques en Italie. Aujourd’hui commence une semaine qui devrait définir l’avenir des configurations politiques en Italie. Aujourd’hui commence une semaine qui devrait définir l’avenir des configurations politiques en Italie.

Aujourd'hui, Giuseppe Conte s’exprimera devant le Sénat italien, après l’avoir fait à la Chambre des députés hier, dans le cadre de la crise politique survenue mercredi dernier, lorsque Matteo Renzi a déclaré que son parti Italia Viva (IV) ne participerait plus à la coalition gouvernementale (M5S-PD-LEU-IV). Aujourd'hui, Giuseppe Conte s’exprimera devant le Sénat italien, après l’avoir fait à la Chambre des députés hier, dans le cadre de la crise politique survenue mercredi dernier, lorsque Matteo Renzi a déclaré que son parti Italia Viva (IV) ne participerait plus à la coalition gouvernementale (M5S-PD-LEU-IV). Aujourd'hui, Giuseppe Conte s’exprimera devant le Sénat italien, après l’avoir fait à la Chambre des députés hier, dans le cadre de la crise politique survenue mercredi dernier, lorsque Matteo Renzi a déclaré que son parti Italia Viva (IV) ne participerait plus à la coalition gouvernementale (M5S-PD-LEU-IV).

Avec la démission des ministres d'Italia Viva (le parti de Matteo Renzi), la crise gouvernementale en Italie s'ouvre officiellement. Il est difficile de déchiffrer un scénario qui, il y a encore quelques jours, semblait gérable dans la dialectique gouvernementale et qui a rapidement dégénéré. Quelques points sur la séquence. Avec la démission des ministres d'Italia Viva (le parti de Matteo Renzi), la crise gouvernementale en Italie s'ouvre officiellement. Il est difficile de déchiffrer un scénario qui, il y a encore quelques jours, semblait gérable dans la dialectique gouvernementale et qui a rapidement dégénéré. Quelques points sur la séquence. Avec la démission des ministres d'Italia Viva (le parti de Matteo Renzi), la crise gouvernementale en Italie s'ouvre officiellement. Il est difficile de déchiffrer un scénario qui, il y a encore quelques jours, semblait gérable dans la dialectique gouvernementale et qui a rapidement dégénéré. Quelques points sur la séquence.

Entre aujourd'hui et demain, les Italiens se rendent aux urnes pour voter pour la présidence de sept régions, la mairie de plus de 1 100 municipalités, deux élections partielles au Sénat et un référendum constitutionnel sur la réduction du nombre de députés. Entre aujourd'hui et demain, les Italiens se rendent aux urnes pour voter pour la présidence de sept régions, la mairie de plus de 1 100 municipalités, deux élections partielles au Sénat et un référendum constitutionnel sur la réduction du nombre de députés. Entre aujourd'hui et demain, les Italiens se rendent aux urnes pour voter pour la présidence de sept régions, la mairie de plus de 1 100 municipalités, deux élections partielles au Sénat et un référendum constitutionnel sur la réduction du nombre de députés.

Les crises offrent parfois des opportunités, et à court terme, la pandémie a été une aubaine pour Giuseppe Conte, bloquant toute tentative d'ouverture d'une crise gouvernementale. Le Premier ministre a utilisé l'épidémie à des fins politiques pour se présenter comme un homme d'État, tout en critiquant ceux qui ont tenté d'utiliser la pandémie à des fins politiques (à savoir l'opposition). Cependant, la pandémie a éclipsé, mais n'a pas effacé, la faiblesse de Conte. Les crises offrent parfois des opportunités, et à court terme, la pandémie a été une aubaine pour Giuseppe Conte, bloquant toute tentative d'ouverture d'une crise gouvernementale. Le Premier ministre a utilisé l'épidémie à des fins politiques pour se présenter comme un homme d'État, tout en critiquant ceux qui ont tenté d'utiliser la pandémie à des fins politiques (à savoir l'opposition). Cependant, la pandémie a éclipsé, mais n'a pas effacé, la faiblesse de Conte. Les crises offrent parfois des opportunités, et à court terme, la pandémie a été une aubaine pour Giuseppe Conte, bloquant toute tentative d'ouverture d'une crise gouvernementale. Le Premier ministre a utilisé l'épidémie à des fins politiques pour se présenter comme un homme d'État, tout en critiquant ceux qui ont tenté d'utiliser la pandémie à des fins politiques (à savoir l'opposition). Cependant, la pandémie a éclipsé, mais n'a pas effacé, la faiblesse de Conte.

Le débat sur l’utilisation d’obligations européennes en réponse à la crise du coronavirus est marqué par des stéréotypes qui ne correspondent pas à la réalité. L’Italie, considérée trop dépensière, a en fait été extrêmement économe au cours des 30 dernières années. Mais elle paye aujourd’hui encore les erreurs commises au cours des années 1970 et 1980.

Le débat sur l’utilisation d’obligations européennes en réponse à la crise du coronavirus est marqué par des stéréotypes qui ne correspondent pas à la réalité. L’Italie, considérée trop dépensière, a en fait été extrêmement économe au cours des 30 dernières années. Mais elle paye aujourd’hui encore les erreurs commises au cours des années 1970 et 1980.

Le débat sur l’utilisation d’obligations européennes en réponse à la crise du coronavirus est marqué par des stéréotypes qui ne correspondent pas à la réalité. L’Italie, considérée trop dépensière, a en fait été extrêmement économe au cours des 30 dernières années. Mais elle paye aujourd’hui encore les erreurs commises au cours des années 1970 et 1980.

L'année 2020 pourrait être une année de changements importants dans le système politique italien. Il est actuellement peu probable qu'il y ait des élections rapides dans les mois à venir. Mais une série de risques, tant politiques qu'économiques, ainsi que la précarité de la coalition gouvernementale actuelle, pourraient modifier le scénario. Les résultats des élections régionales de la semaine prochaine pourraient accélérer un tel changement. Quelques prévisions de la Luiss School of Government. L'année 2020 pourrait être une année de changements importants dans le système politique italien. Il est actuellement peu probable qu'il y ait des élections rapides dans les mois à venir. Mais une série de risques, tant politiques qu'économiques, ainsi que la précarité de la coalition gouvernementale actuelle, pourraient modifier le scénario. Les résultats des élections régionales de la semaine prochaine pourraient accélérer un tel changement. Quelques prévisions de la Luiss School of Government. L'année 2020 pourrait être une année de changements importants dans le système politique italien. Il est actuellement peu probable qu'il y ait des élections rapides dans les mois à venir. Mais une série de risques, tant politiques qu'économiques, ainsi que la précarité de la coalition gouvernementale actuelle, pourraient modifier le scénario. Les résultats des élections régionales de la semaine prochaine pourraient accélérer un tel changement. Quelques prévisions de la Luiss School of Government.

L'expulsion du parti du sénateur « souverainiste » Gianluigi Paragone et la démission du ministre « progressiste » Lorenzo Fioramonti, entre autres, suggèrent une recomposition potentielle de la scène politique italienne, avec des répercussions possibles au niveau européen. L'expulsion du parti du sénateur « souverainiste » Gianluigi Paragone et la démission du ministre « progressiste » Lorenzo Fioramonti, entre autres, suggèrent une recomposition potentielle de la scène politique italienne, avec des répercussions possibles au niveau européen. L'expulsion du parti du sénateur « souverainiste » Gianluigi Paragone et la démission du ministre « progressiste » Lorenzo Fioramonti, entre autres, suggèrent une recomposition potentielle de la scène politique italienne, avec des répercussions possibles au niveau européen.

Si le bouillant été politique en Italie, avec la chute du gouvernement Conte I et la formation du Conte II, peut être considéré comme un tremblement de terre, les dernières données sur les intentions de vote de l'électorat suggèrent le contraire. Certes, la situation a changé, mais depuis les dernières élections européennes, l'équilibre des pouvoirs entre les différents partis politiques semble s'être stabilisé. Une nouvelle stabilité pour le système des partis italien ? Un approfondissement signé par la LUISS School of Government. Si le bouillant été politique en Italie, avec la chute du gouvernement Conte I et la formation du Conte II, peut être considéré comme un tremblement de terre, les dernières données sur les intentions de vote de l'électorat suggèrent le contraire. Certes, la situation a changé, mais depuis les dernières élections européennes, l'équilibre des pouvoirs entre les différents partis politiques semble s'être stabilisé. Une nouvelle stabilité pour le système des partis italien ? Un approfondissement signé par la LUISS School of Government. Si le bouillant été politique en Italie, avec la chute du gouvernement Conte I et la formation du Conte II, peut être considéré comme un tremblement de terre, les dernières données sur les intentions de vote de l'électorat suggèrent le contraire. Certes, la situation a changé, mais depuis les dernières élections européennes, l'équilibre des pouvoirs entre les différents partis politiques semble s'être stabilisé. Une nouvelle stabilité pour le système des partis italien ? Un approfondissement signé par la LUISS School of Government.

La démission du président du Conseil Giuseppe Conte domine les vacances des Italiens. Désormais, les marges de manœuvres pour sortir de la crise sont étroites : on peut envisager un gouvernement provisoire, composé de membres neutres, ayant comme finalité exclusive d’accompagner le pays aux élections ; ou un accord entre le PD et les Cinq Étoiles. Dans tous les cas, une solution devra être trouvée au plus vite. La démission du président du Conseil Giuseppe Conte domine les vacances des Italiens. Désormais, les marges de manœuvres pour sortir de la crise sont étroites : on peut envisager un gouvernement provisoire, composé de membres neutres, ayant comme finalité exclusive d’accompagner le pays aux élections ; ou un accord entre le PD et les Cinq Étoiles. Dans tous les cas, une solution devra être trouvée au plus vite. La démission du président du Conseil Giuseppe Conte domine les vacances des Italiens. Désormais, les marges de manœuvres pour sortir de la crise sont étroites : on peut envisager un gouvernement provisoire, composé de membres neutres, ayant comme finalité exclusive d’accompagner le pays aux élections ; ou un accord entre le PD et les Cinq Étoiles. Dans tous les cas, une solution devra être trouvée au plus vite.

Lundi 5 août, quelque jours avant que la crise de gouvernement n’explose, le décret sécurité, une des mesures clefs soutenues par la Ligue, qui renforce la lutte contre l’immigration illégale et donne plus de pouvoir au ministère de l’Intérieur, est devenu une loi, bousculant ainsi les équilibre politiques et suscitant de sévères critiques. Un instrument de campagne électorale pour Salvini se prépare ? Lundi 5 août, quelque jours avant que la crise de gouvernement n’explose, le décret sécurité, une des mesures clefs soutenues par la Ligue, qui renforce la lutte contre l’immigration illégale et donne plus de pouvoir au ministère de l’Intérieur, est devenu une loi, bousculant ainsi les équilibre politiques et suscitant de sévères critiques. Un instrument de campagne électorale pour Salvini se prépare ? Lundi 5 août, quelque jours avant que la crise de gouvernement n’explose, le décret sécurité, une des mesures clefs soutenues par la Ligue, qui renforce la lutte contre l’immigration illégale et donne plus de pouvoir au ministère de l’Intérieur, est devenu une loi, bousculant ainsi les équilibre politiques et suscitant de sévères critiques. Un instrument de campagne électorale pour Salvini se prépare ?

Le vote sur la nouvelle présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a causé l'énième rupture dans le gouvernement italien. Cette fois-ci, le risque de crise gouvernementale est bien réel. Toutefois, la route vers de nouvelles élections n'est pas immédiate : la nécessité de sécuriser le budget italien pourrait servir comme élément dissuasif vers des élections en Septembre. Le vote sur la nouvelle présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a causé l'énième rupture dans le gouvernement italien. Cette fois-ci, le risque de crise gouvernementale est bien réel. Toutefois, la route vers de nouvelles élections n'est pas immédiate : la nécessité de sécuriser le budget italien pourrait servir comme élément dissuasif vers des élections en Septembre. Le vote sur la nouvelle présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a causé l'énième rupture dans le gouvernement italien. Cette fois-ci, le risque de crise gouvernementale est bien réel. Toutefois, la route vers de nouvelles élections n'est pas immédiate : la nécessité de sécuriser le budget italien pourrait servir comme élément dissuasif vers des élections en Septembre.

La renonciation du Fidesz, du PiS et du Brexit Party met fin aux ambitions de Matteo Salvini de se mettre à la tête d’une alliance unitaire de la droite eurosceptique européenne, la “Ligue des ligues”. Parmi les raisons ayant conduit à cet échec, il y a des motivations personnelles, des tactiques politiques et un positionnement international. Mais surtout, Salvini souffre de son incapacité à négocier au niveau européen et à trouver un message unifié avec des partenaires potentiels. La renonciation du Fidesz, du PiS et du Brexit Party met fin aux ambitions de Matteo Salvini de se mettre à la tête d’une alliance unitaire de la droite eurosceptique européenne, la “Ligue des ligues”. Parmi les raisons ayant conduit à cet échec, il y a des motivations personnelles, des tactiques politiques et un positionnement international. Mais surtout, Salvini souffre de son incapacité à négocier au niveau européen et à trouver un message unifié avec des partenaires potentiels. La renonciation du Fidesz, du PiS et du Brexit Party met fin aux ambitions de Matteo Salvini de se mettre à la tête d’une alliance unitaire de la droite eurosceptique européenne, la “Ligue des ligues”. Parmi les raisons ayant conduit à cet échec, il y a des motivations personnelles, des tactiques politiques et un positionnement international. Mais surtout, Salvini souffre de son incapacité à négocier au niveau européen et à trouver un message unifié avec des partenaires potentiels.

Dans le contexte du regain de tension libyen, le ministre de l’Intérieur Matteo Salvini a signé une nouvelle directive interdisant l’arrivée de migrants en Italie. Point particulier, cette directive s’adressait non seulement aux forces de police mais aussi au chef d'État-Major de la marine militaire et au commandant général de la capitainerie du port, subordonnés au ministère de la Défense (contrôlée par Elisabetta Trenta du Mouvement 5 Étoiles), ce qui a abouti à un nouvel affrontement entre les deux ministres… mais aussi, cette fois, avec l’armée italienne. Signaux faibles de conflit institutionnel au sein du gouvernement Conte.
Dans le contexte du regain de tension libyen, le ministre de l’Intérieur Matteo Salvini a signé une nouvelle directive interdisant l’arrivée de migrants en Italie. Point particulier, cette directive s’adressait non seulement aux forces de police mais aussi au chef d'État-Major de la marine militaire et au commandant général de la capitainerie du port, subordonnés au ministère de la Défense (contrôlée par Elisabetta Trenta du Mouvement 5 Étoiles), ce qui a abouti à un nouvel affrontement entre les deux ministres… mais aussi, cette fois, avec l’armée italienne. Signaux faibles de conflit institutionnel au sein du gouvernement Conte.
Dans le contexte du regain de tension libyen, le ministre de l’Intérieur Matteo Salvini a signé une nouvelle directive interdisant l’arrivée de migrants en Italie. Point particulier, cette directive s’adressait non seulement aux forces de police mais aussi au chef d'État-Major de la marine militaire et au commandant général de la capitainerie du port, subordonnés au ministère de la Défense (contrôlée par Elisabetta Trenta du Mouvement 5 Étoiles), ce qui a abouti à un nouvel affrontement entre les deux ministres… mais aussi, cette fois, avec l’armée italienne. Signaux faibles de conflit institutionnel au sein du gouvernement Conte.

Les deux vice-premiers ministres Salvini et Di Maio entendent bien renouveler la direction de la Banque centrale italienne. Pendant ce temps, leur majorité parlementaire cherche à savoir à qui appartient l‘or des réserves souveraines nationales... Les deux vice-premiers ministres Salvini et Di Maio entendent bien renouveler la direction de la Banque centrale italienne. Pendant ce temps, leur majorité parlementaire cherche à savoir à qui appartient l‘or des réserves souveraines nationales... Les deux vice-premiers ministres Salvini et Di Maio entendent bien renouveler la direction de la Banque centrale italienne. Pendant ce temps, leur majorité parlementaire cherche à savoir à qui appartient l‘or des réserves souveraines nationales...

La conférence de presse qui s’est tenue à l’issue du Conseil des gouverneurs de la BCE jeudi 25 octobre n’a pas annoncé de mesures nouvelles. Toutefois l’actualité est aussi marquée par une certaine inquiétude : la volonté d’une sortie progressive des politiques de crise pourrait en effet être gravement menacée si une crise survenait en Italie. Faute de véritable cohésion fiscale à l’échelle de l’Union, la BCE serait alors la première à devoir intervenir. La conférence de presse qui s’est tenue à l’issue du Conseil des gouverneurs de la BCE jeudi 25 octobre n’a pas annoncé de mesures nouvelles. Toutefois l’actualité est aussi marquée par une certaine inquiétude : la volonté d’une sortie progressive des politiques de crise pourrait en effet être gravement menacée si une crise survenait en Italie. Faute de véritable cohésion fiscale à l’échelle de l’Union, la BCE serait alors la première à devoir intervenir. La conférence de presse qui s’est tenue à l’issue du Conseil des gouverneurs de la BCE jeudi 25 octobre n’a pas annoncé de mesures nouvelles. Toutefois l’actualité est aussi marquée par une certaine inquiétude : la volonté d’une sortie progressive des politiques de crise pourrait en effet être gravement menacée si une crise survenait en Italie. Faute de véritable cohésion fiscale à l’échelle de l’Union, la BCE serait alors la première à devoir intervenir.

Dans un centre-droit italien en pleine tourmente, de plus en plus de membres de Forza Italia se réjouissent de la possibilité de rejoindre la Ligue de Matteo Salvini. Le premier test pourrait être les élections européennes. Dans un centre-droit italien en pleine tourmente, de plus en plus de membres de Forza Italia se réjouissent de la possibilité de rejoindre la Ligue de Matteo Salvini. Le premier test pourrait être les élections européennes. Dans un centre-droit italien en pleine tourmente, de plus en plus de membres de Forza Italia se réjouissent de la possibilité de rejoindre la Ligue de Matteo Salvini. Le premier test pourrait être les élections européennes.