
Le futur de l’Europe n’est pas l’IA de la Silicon Valley
« En s’attaquant directement au pouvoir et à l’influence des Big Tech, les Européens peuvent encore créer une alternative. Ce n’est qu’à cette condition que la technologie pourra continuer à contribuer à la prospérité commune, au lieu de devenir un outil de domination permettant à une minuscule élite d’asservir le reste de l’humanité ».
Un inédit signé Daron Acemoğlu, Prix Nobel d’Économie.