
15 livres à lire en avril
Chaque mois, une sélection de nouvelles parutions en sciences sociales à découvrir.
La circulation des idées pour la construction d’une Europe politique passe par l’articulation et la compréhension de concepts nouveaux et de propositions théoriques essentielles pour saisir la transformation de la configuration géopolitique contemporaine.
Chaque mois, une sélection de nouvelles parutions en sciences sociales à découvrir.
Chaque mois, une sélection de nouvelles parutions en sciences sociales à découvrir.
Chaque mois, une sélection de nouvelles parutions en sciences sociales à découvrir.
Oui, 2021 arrive. Les nouvelles sorties en sciences humaines aussi.
Avec le vaccin, et, espérons-le, la fin de l’épidémie en vue, vous n’aurez plus d’excuse pour ne pas acheter chez vos libraires. Voici une petite sélection des livres qu’on pourra lire en janvier.
En janvier 1968, quelques mois avant sa mort, Alexandre Kojève donnait son dernier entretien à Gilles Lapouge. Il y discourait de Hegel, de la Grèce, du Japon, des « réussites » dans les négociations internationales… Comme clausule d’une année terrible, alors que la veille de Noël a été l’occasion d’un accord in extremis sur le Brexit, cette conversation d’un autre temps a des sonorités étrangement familières.
Parce que l’année 2020 a aussi vu se propager un autre virus, il est urgent d’engager une réflexion de longue haleine sur le complotisme. Ce texte d’Umberto Eco est un classique : de Karl Popper à Dan Brown, il pose les bases d’une compréhension du phénomène complotiste, tout en nous racontant, avec virtuosité, une histoire.
Notre sélection des meilleurs livres de cette année particulière.
Dans ce texte, le plus long écrit par le HRVP Borrell dans cette séquence, on découvre sa vision structurée de l’ensemble des grands enjeux de la séquence Covid-19 : de l’Iran à la présidence Biden ou à la question de l’unanimité ou de l’europhobie
Dans quelle mesure le monde des Principes de la philosophie du droit, publiés il y a deux-cent ans, est-il encore le nôtre ? Enfermés dans la tenaille temporelle du Covid-19, errant entre ce qui est et ce qui devrait être, il est peut-être encore temps de sourire à l’universel.
« Je veux être libre de choisir mon mode de gouvernement. » Comment une idée née dans la tête d’un botaniste en Belgique au XIXe siècle a-t-elle irrigué la pensée politique jusqu’à l’ère de la communication globale ?