« La France répandait les idées, la Pologne couvrait la frontière. »
Pour l’ancien ambassadeur de France à Varsovie, Pierre Buhler, la transition géopolitique du continent se joue à l’heure de Varsovie.
« La France répandait les idées, la Pologne couvrait la frontière. »
Pour l’ancien ambassadeur de France à Varsovie, Pierre Buhler, la transition géopolitique du continent se joue à l’heure de Varsovie.
C’est l’histoire d’une révolution invisible.
Racontée par Adam Curtis, elle commence comme un conte de fées, puis continue différemment.
À l’ère d’Ozempic et de Donald Trump, nous avons eu envie de la partager avec vous — avant le prochain virage.
Réconcilier « les discours du dimanche et les actions du lundi ».
C’est le sens de la mission que s’était fixée il y a cinq ans Josep Borrell, lorsqu’il a entamé dans son mandat de Haut Représentant. Dans ce texte personnel, le premier depuis qu’il a quitté ses fonctions, il dresse une rétrospective et bilan critique — tout en suggérant quelques pistes pour aller de l’avant.
Contrairement à 2016, Trump a un plan : projeter le passé dans le futur.
De Musk aux rednecks, son style a défini une nouvelle coalition massive.
Pour la saisir, Lorenzo Castellani forge une notion : l’accélération réactionnaire.
« Nous avons toujours la possibilité de faire des choix qui sont essentiels… Le problème actuel est que nous renonçons à ce choix et laissons le débat sur l’ère future de l’IA à quelques individus. La société, les travailleurs, les syndicats doivent participer au débat sur l’IA. »
La leçon du Prix Nobel d’économie 2024, Daron Acemoğlu.
Pour les économistes Olivier Blanchard (Peterson Institute) et Angel Ubide (Citadel), le rapport Draghi identifie les problématiques essentielles auxquelles est confrontée l’Europe qui vient — sans apporter pour autant toutes les réponses. Afin d’ouvrir un débat nécessaire sur les constats et la feuille de route, ils proposent d’élargir la focale : de la productivité aux investissements en passant par la sécurité nationale — un tour d’horizon.
L’Union est à un tournant. Si elle décide de se saisir du rapport Draghi, un bon en avant est possible pour mener de front les trois transitions. Une pièce de doctrine signée José Manuel Albares Bueno, ministre espagnol des Affaires étrangères — en réponse à Mario Draghi.
« Si l’impérialisme agressif de la Russie de Vladimir Poutine était réellement perçu comme un risque existentiel pour l’Union comme c’était le cas du Covid-19, le choix d’une dette commune serait vite fait. »
Dans une pièce de doctrine, le Haut Représentant de l’Union européenne pour la politique étrangère Josep Borrell réagit au rapport Draghi.
Dans la première réaction officielle au rapport de Mario Draghi, le ministre de l’Économie espagnol Carlos Cuerpo formule un prolongement et des propositions pour permettre à l’Union de viser un leadership stratégique global — à partir de cinq domaines clefs.
Pour expliquer la logique de ses recommandations sur le futur de la compétitivité européenne, Mario Draghi a confié à la revue une pièce de doctrine programmatique en avant-propos de son rapport.