Une analogie dans la revue

Vladimir Poutine et Donald Trump se rencontreront demain à Anchorage.

Pour comprendre le contexte de ce moment historique, Patrick Weil propose de revenir, avec une précision philologique, sur les leçons des années 1930.

L’auteur d’Un fou à la Maison Blanche avance une hypothèse  : et si loin d’être un isolationniste, Trump était l’héritier de l’internationalisme de Wilson  ?

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Géopolitique de l’Alaska : éléments géographiques du sommet Trump-Poutine

Géopolitique de Donald Trump
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«  L’Albanie s’est imposée comme un motif récurrent dans ma vie — un peu comme un thème revient dans une symphonie…  »

Pour son dernier roman, l’écrivain diplomate a décidé de placer la suite des aventures du consul Aurel Timescu… en Albanie.

Jean-Christophe Rufin revient sur la relation particulière qu’il entretient avec ce pays qu’il a connu dès la chute du communisme et qui a fini par imprégner son existence.

Lorsqu’Hélène Landemore arrive pour la première fois en Islande, elle assiste à un phénomène fascinant  : au milieu d’un paysage lunaire, des citoyens sont en train d’écrire une constitution — les Islandais ont décidé d’exclure par la loi les hommes politiques du processus.

À Þingvellir, elle se rendra sur les lieux du parlement «  originel  » de l’Islande, fondé il y a plus de mille ans et où les Vikings se retrouvaient pendant deux semaines tous les étés.

Grand Tour sur l’île des volcans et de la démocratie participative.

Elon Musk, Peter Thiel ou Reid Hoffman ont en commun d’avoir fondé PayPal. Ils ont aussi été tous trois élèves de Jean-Pierre Dupuy sur les bancs de Stanford.

Pour le philosophe des catastrophes, la Californie était une fiction qui est peu à peu devenue réalité.

Au volant d’une Mustang, il nous embarque pour un Grand Tour dans le brouillard, le long de cette côte pacifique où il est lui-même devenu un personnage de Vertigo.

Aux avant-postes de l’empire algorithmique de Trump, Alex Karp et Peter Thiel, les fondateurs de la toute puissante Palantir, sont persuadés d’avoir déjà gagné  : «  les sceptiques sont désarmés, résignés à une forme de soumission  ».

L’entreprise qui va dépasser les 400 milliards de capitalisation boursière a désormais un nouveau projet. Vendre de «  l’ontologie  » pour réduire à néant les «  hommes sans poitrine  ».

Leur dernière lettre aux actionnaires est particulièrement bizarre et inquiétante.

Pour la comprendre, nous avons demandé à Andrea Venanzoni de l’introduire et à Alessandro Aresu de la commenter ligne à ligne.

Selon Cecilia Malmström, qui a dû négocier avec la première administration Trump, l’Union s’est engagée à Turnberry sur une voie particulièrement dangereuse.

Au-delà de la capitulation sans résistance, la Commission a surtout pris le risque de présenter comme un «  accord  » une discussion dont tous les termes peuvent encore totalement changer.

En menaçant hier d’augmenter les droits de douane si l’Europe ne lui donnait pas directement 600 milliards de dollars, Trump vient tranquillement de s’engouffrer dans la brèche — ouvrant une nouvelle phase d’incertitude.