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Les agriculteurs contre l’agenda agro-industriel de Modi

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Tunisie : l’an X de ce qui ne fut pas une révolution

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Le 23 septembre dernier, la Commission européenne a proposé un Nouveau Pacte sur la migration et l’asile, un document politique important qui conformément à ce qui a été annoncé dans le discours sur l’état de l’Union, pourrait être mis au cœur de son mandat. De surcroît, ce texte se trouve publié à un moment où les crises s’accumulent dans l’Union européenne. Afin de mettre le Nouveau Pacte en perspective, nous en discutons avec Jean Pierre Cassarino, Professeur au Collège d’Europe (Natolin, Pologne), chercheur associé à l’IRMC de Tunis et ancien titulaire de la Chaire d’études sur les migrations à l’Institut d’Études Avancées (IMéRA), Université Aix-Marseille.

Si la religion a toujours jouée un rôle central dans la République islamique du Pakistan – pays né sur une base confessionnelle -, cette centralité est redynamisée depuis l’accession au poste de chef du gouvernement d’Imran Khan. Le «  nouveau Pakistan  » promis par l’ancien joueur de cricket peine à afficher un visage libéral.

Parmi les nombreux et divers héritages de l’ère soviétique il en est un qui est particulièrement significatif pour la Russie d’aujourd’hui. Au tournant des années 70 et 80, les éclaireurs russes du RSFS ont réalisé que la vaste région de la Sibérie et de la Volga grouillait de gaz naturel. C’est ainsi qu’a été inaugurée l’ère de la Russie en tant que supergéante énergétique et que les deux géants du gaz et du pétrole de la Fédération naissante ont pris une forme définitive  : Lukoil et, surtout, Gazprom. Depuis lors, l’économie russe est entrée dans une union incontournable avec une dynamique énergétique, tant en termes d’autosuffisance (russe) que d’hétérodépendance (notamment de l’Europe).