← Voir tous les cardinaux

Cardinal Stanisław Ryłko

Archiprêtre de la basilique Sainte-Marie-Majeure

Un des derniers rescapés du contingent de prélats polonais amenés à la Curie par Jean-Paul II, où il a eu une carrière longue de 40 ans, le cardinal Stanisław Ryłko termine sa carrière au poste moins influent mais honorifique d’archiprêtre de la basilique Sainte-Marie Majeure — une des 4 grandes basiliques romaines, que le pape François a choisie pour être sa dernière demeure.

Cardinal électeur
Lux Mea Christus Christ est ma lumière
  1. Date de naissance (âge) : Né le 4 juillet 1945 (79 ans)
  2. Lieu de naissance : Andrychów, Pologne
  3. Nationalité : Polonais
  4. Formation : Séminaire de Cracovie ; Faculté pontificale de théologie de Cracovie ; Université pontificale grégorienne (Rome)
  5. Fonctions dans l’Église : Archiprêtre de la basilique Sainte-Marie-Majeure
  6. État ou ordre : Prêtre séculier
  7. Rang : Cardinal-prêtre du titre du Sacro Cuore di Cristo Re
  8. Cardinal électeur depuis le : 24 novembre 2007 (créé par Benoît XVI)
  9. Cardinal électeur jusqu’au : 4 juillet 2025

Carrière

Il est ordonné prêtre en 1969. Jean-Paul II l’appelle à la Curie dès 1987, comme responsable de la section « jeunesse » du Conseil pontifical pour les laïcs, un thème cher au coeur du pape polonais. De 1992 à 1995, il est employé dans la section polonaise de la secrétairerie d’Etat dirigée par Angelo Sodano. Il est secrétaire (n°2, 1995-2003) puis président (2003-2016) du Conseil pontifical pour les laïcs, et créé cardinal par Benoît XVI en 2007. 

Après sa retraite d’un Dicastère de la Curie romaine à 75 ans, en 2016, il  termine sa carrière au poste moins influent mais honorifique d’archiprêtre de la basilique Sainte-Marie Majeure, une des 4 grandes basiliques romaines, que le pape François a choisie pour être sa dernière demeure.

Profil

Un des derniers rescapés du contingent de prélats polonais amenés à la Curie par Jean-Paul II, où il a eu une carrière longue de 40 ans, et où il a été salué pour ses compétences, mais aussi pour sa remarquable discrétion. Il passe pour un conservateur modéré en théologie morale, promoteur ex officio de la place des laïcs dans l’Eglise, mais aussi défenseur d’un enseignement classique, avec des accents wojtyliens. 

Sa position dans le collège des cardinaux électeurs

Progressiste
Conservateur
Périphérique
Central