
Quatre ans après, Trump a-t-il changé la pratique du pouvoir aux États-Unis ?
Quatre ans après, Trump a-t-il changé la pratique du pouvoir aux États-Unis ?
Dans son dernier ouvrage, Jean-Louis Fabiani s’intéresse à un objet culturel à part entière.
L’écrivain Vincenzo Latronico a lu le dernier Carrère. Pour lui, le fondu rose de Yoga signe peut-être la fin du chemin autofictionnel.
Aux États-Unis comme en Chine, en Europe comme en Russie, l’avenir des décideurs politiques est désormais entièrement tributaire de leur capacité à contrôler l’épidémie de Covid-19 et à en limiter les conséquences économiques et sociales. Dans son nouvel ouvrage, La Guerre des récits, la journaliste Christine Ockrent analyse les récits que les dirigeants des grandes puissances mondiales s’attachent à construire depuis le début de la crise sanitaire pour justifier leurs décisions auprès de leurs opinions publiques et au-delà.
François Hartog a lu le dernier Christopher Clark. Au programme : une micro-histoire des régimes d’historicité.
Alors qu’il édite les textes de Clemenceau sur l’Amérique chez Passés Composés, l’historien Patrick Weil nous livre dans un entretien les clefs de lecture pour comprendre ce que le Tigre a retenu de son apprentissage américain.
Florian Louis a interrogé François Hartog à propos de son dernier livre.
Branko Milanović répond à la critique parue sur Médiapart de son dernier ouvrage, Capitalisme, sans rival (La Découverte, 2020), en ouvrant le débat.
Tour d’Europe des regards. Alors qu’à Paris, le Petit Palais met à l’honneur « l’âge d’or de la peinture danoise », le musée national de Copenhague s’apprête à exposer une grande rétrospective sur l’œuvre de l’artiste Anna Ancher (1859-1935).
Jusqu’au 20 septembre à Turin, l’exposition Sfida al Barocco (Défi au baroque) retrace une dynamique d’échanges artistiques transnationaux entre XVIIème et XVIIIème siècles, dans une Europe sous influences franco-italiennes.