Moscou serait prête à faciliter le dialogue entre Téhéran et Washington sur le programme nucléaire de la République islamique, un pas qui pourrait contribuer à sortir Poutine de son isolement et lui redonner de l’influence dans la région après la chute de Bachar el-Assad.
Si elles étaient confirmées, ces négociations marqueraient également un écart inédit vis-à-vis du cadre diplomatique établi depuis plus de vingt ans par les pays européens. Selon un nouveau rapport de l’Agence internationale de l’énergie atomique, les stocks d’uranium enrichi à 60 % de l’Iran pourraient alimenter jusqu’à six armes nucléaires.