Renault, Mercedes-Benz, McDonald’s… Quelles entreprises pourraient se voir interdire de racheter leurs actifs en Russie ?
Asie septentrionale
En mai 2022, le groupe français Renault vendait sa participation dans le constructeur russe Avtovaz pour un rouble symbolique suite au lancement de l’invasion à grande échelle de l’Ukraine. L’accord incluait cependant une clause qui ouvrait la voie à un rachat d’actions dans un délai de six ans.
Afin de permettre aux investisseurs russes ayant bénéficié du départ des entreprises occidentales de conserver leurs avantages, les députés de la Douma d’État pourraient voter dès le mois de juin en faveur d’une loi qui rendrait caduques ces clauses de rachat.