Résultat pour : la chine


Aujourd’hui s’ouvre le troisième plénum du 20e Comité central du Parti communiste chinois. À son issue, une décision qui guidera l’élaboration des politiques économiques pour les années à venir devrait être publiée. Lundi 15 juillet, Pékin a communiqué les chiffres de croissance au deuxième trimestre  : 4,7  %, soit un taux inférieur à la cible officielle (autour de 5  %).

Il s’agissait de l’une des principales craintes des dirigeants et combattants ukrainiens  : face à un front largement statique depuis fin 2022, les soutiens occidentaux de Kiev allaient se lasser et progressivement mettre fin à leur assistance militaire. Les engagements pris en faveur de l’Ukraine à Washington ainsi que l’arrivée de matériel et munitions sur le terrain suggèrent cependant que la «  fatigue de guerre  » ne s’est pas installée.

Sous Jordan Bardella, la France deviendrait-elle un oblast de plus pour Poutine  ?

Pour le politiste et haut fonctionnaire Nicolas Tenzer, les liens du parti de Marine Le Pen avec la Russie font peser un risque pour l’indépendance du pays, qui pourrait se retrouver exclu de décisions stratégiques internationales.

Sommes-nous bloqués dans le regard de l’empereur romain  ?

Pour comprendre comment le monde Le Pen et Meloni est devenu le nôtre, l’un des plus fins observateurs de la politique contemporaine a inventé une formule particulièrement opératoire  : la romanisation des barbares. Pour Giovanni Orsina, directeur de la LUISS School of Government, la marée populiste ne recule pas parce qu’elle disparaît — elle entre lentement dans nos institutions pour s’y installer.

Huit pages pour se donner un cap. Tous les cinq ans, un document aussi important que peu connu est adopté par le Conseil européen. Fruit d’un compromis, reflet aussi bien des crises persistantes que des pouvoirs en place, l’agenda stratégique 2024-2029 connaîtra peut-être des inflexions — mais il fixe des objectifs quinquennaux et présente quelques nouveautés. Il doit être étudié de près. Une première lecture.

Un mois et demi après le décès accidentel du président de la République islamique d’Iran, Raïssi, les Iraniens sont appelés aux urnes aujourd’hui pour le premier tour de l’élection présidentielle. S’il y a un candidat réformateur parmi les six autorisés à concourir, les dirigeants iraniens craignent surtout que l’abstention, signe de rejet du régime, continue d’augmenter.