La COP26 de Glasgow se termine aujourd’hui. Nous revenons sur les principales annonces du sommet : la déclaration commune de la Chine et des États-Unis, l’accord sur la réduction des émissions de méthane ou encore l’accord sur l’industrie automobile, ainsi que sur son bilan.
Le contexte géopolitique a connu des revirements majeurs durant ces derniers mois : retrait d’Afghanistan, crise des sous-marins ou encore tensions croissantes entre les États-Unis et la Chine. Dominique Moïsi, chercheur à l’Institut Montaigne, revient dans cet entretien sur ces évènements et sur son propre parcours.
Connue pour être le centre mondial des services informatiques, l’Inde constitue aujourd’hui le marché d’internautes le plus convoité par sa taille et son potentiel. Dans un contexte géopolitique de tensions avec le géant numérique chinois, l’Inde de Modi, qui cherche la voie de l’autosuffisance, a lancé une stratégie globale pour rattraper son retard dans les secteurs les plus stratégiques. Après la Corée du Sud, une nouvelle étude sur l’un des acteurs numériques à suivre entre la Chine et les États-Unis.
Le Pentagone a publié hier un rapport affirmant que la puissance nucléaire de la Chine croissait d’une manière beaucoup plus importante que prévue et pourrait atteindre les 1000 ogives d’ici 2030. Nous revenons en cinq points synthétiques sur la stratégie de puissance chinoise.
Aujourd’hui se poursuit la COP26 officiellement lancée hier, 31 octobre à Glasgow et ce jusqu’au 12 novembre. Alors que les prix de l’énergie ont continué d’augmenter ces derniers mois, nous revenons sur les enjeux des principales grandes puissances qui y sont présentes (ou pas : la Chine et la Russie sont les grands absents à Glasgow). Si plusieurs pays ont promis de faire davantage pour lutter contre le changement climatique, ces plans ne sont pas encore à la hauteur de ce qui est nécessaire pour limiter le réchauffement de la planète à 1,5 °C.
Un sommet à Moscou réunit aujourd’hui la Chine, l’Iran, le Pakistan et les Talibans. Retour en cinq points synthétiques sur la politique de la Chine depuis la chute de Kaboul.
Entre l’Amérique de Biden et la Chine de Xi, comment se penser parmi les autres lorsque l’idée que l’on se fait de soi-même tire sa légitimité de l’universalisme des valeurs ? Dans cette conversation à deux voix, les philosophes Luuk van Middelaar et Pierre Manent tentent d’affronter cette question urgente pour l’Europe.
Contrairement aux évènements de la guerre froide, les tensions entre la Chine et les États-Unis ne semblent pas être une préoccupation majeure pour l’opinion publique européenne, comme le révèle une nouvelle enquête. Ivan Krastev et Mark Leonard en tire des leçons pour Bruxelles et Washington.
La politique économique chinoise a pu faire l’objet de nombreux débats et il s’en est fallu de peu pour que la Chine suive le chemin de l’ex-URSS. Isabella Weber retrace et analyse originalement, grâce à une approche historique et économique, la trajectoire économique chinoise.
Dans un message vidéo pré-enregistré diffusé à l’Assemblée générale des Nations unies, le président chinois Xi Jinping a déclaré que la Chine cesserait de construire des centrales à charbon à l’étranger. Cette annonce, d’une importance majeure, doit être replacée dans un contexte plus large d’affirmation de la dimension écologique de Pékin comme constitutive de la puissance chinoise – sept points, sept graphiques, une carte.
