« Éphémère destinée » : le viatique de Sigmund Freud face aux dangers
« Nous reconstruirons tout ce que la guerre a détruit, peut-être sur des bases plus solides et de façon plus durable qu’auparavant. »
En 1915, dans un essai lumineux, écrit avec force « contre son propre pessimisme », Sigmund Freud offre un viatique contre le sentiment de la perte et du vertige.
Un texte introduit et commenté par Élisabeth Roudinesco qu’il est urgent de relire alors que notre Annus Monstruosus touche à sa fin.