Une analyse du final de la série culte.
Alors qu’on ne sait pas encore quand ni dans quelles conditions les rideaux des opéras, théâtres et salles de concert se lèveront à nouveau, Raphaël Pichon, chef d’orchestre et directeur musical de Pygmalion, appelle à repenser la place de la culture dans nos priorités politiques et le rôle de ses artistes et acteurs dans notre société.
« La mission principale d’un écrivain n’est pas d’écrire sur la politique, ou d’être actif politiquement. Ce n’est pas non plus de traquer les silences d’une société pour y enraciner les mots, mais de raconter une bonne histoire. Être un conteur d’histoires. Cela doit être, je crois, la motivation première d’un écrivain. Rien ne peut égaler le plaisir de cette dévotion totale que l’on éprouve pour son histoire lorsqu’on écrit un roman. »
Réflexions et notes sur le virus depuis Buda, par une écrivaine et chercheuse en biologie.
Dans ce premier roman autofictionnel, la narratrice fait d’un quartier de Varsovie un personnage capital.
Nous avons interrogé la romancière chilienne Isabel Allende sur sa manière de vivre la pandémie et la période particulière du confinement. Après avoir promené ses chiens, elle monte au grenier pour écrire.
Pour l’auteure de La Maison aux esprits, à la renommée mondiale, le fait de vivre cette expérience collectivement montre bien que « l’humanité ne fait qu’un. »
Chaque jour, Raffaele Alberto Ventura nous raconte son expérience de confinement avec sa fille de quatre ans.
À l’heure du coronavirus, comment traduire la réalité dystopique en fiction ?
La prose de Djørup résonne du rire désespéré aussi bien que du rire satirique, tendre, grotesque, critique. Et elle écrit diaboliquement bien.
Coronavirus en Italie : « la suspension temporaire de la société ouverte n’est pas la fin de l’ouverture ! »
MéditerranéeEn décrivant la vie quotidienne à Rome, à l’intérieur des foyers confinés ou à l’extérieur, arpentant les berges désertes du Tibre, on redécouvre une nouvelle sociabilité. Une expérimentation italienne dont il faudra s’inspirer ailleurs en Europe dans les prochaines semaines.En décrivant la vie quotidienne à Rome, à l’intérieur des foyers confinés ou à l’extérieur, arpentant les berges désertes du Tibre, on redécouvre une nouvelle sociabilité. Une expérimentation italienne dont il faudra s’inspirer ailleurs en Europe dans les prochaines semaines.