
On dit souvent que l’Europe se transforme. On peine à décrire comment. Mais dans les turbulences du nouveau désordre, la bipolarité entre la Chine et les États-Unis reste la force gravitationnelle structurante. Elle imprime des logiques duales, obligeant l’Europe à s’arrêter dans une position — il ne reste, peut-être, guère plus que quatre options.