Europe

Combattre les Russes au XXIe siècle, une conversation avec le ministre ukrainien des vétérans

Ukraine : portrait d’un pays déchiré – qui résiste
Long format

Ancien Secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg est aujourd’hui ministre des Finances de la Norvège.

Avec son homologue polonais ils partagent un point de vue en dissonnance avec les aspirations d’une grande partie de l’opinion publique européenne  : pour eux, l’Union doit continuer à acheter américain.

À Varsovie, nous leur avons demandé pourquoi.

Demain matin s’ouvre le Forum de sécurité de Varsovie, en partenariat avec la revue.

Pour sa présidente Katarzyna Pisarska, l’Union est face à un choix simple  : si elle ne fait pas gagner l’Ukraine maintenant, elle accepte de livrer ses citoyens à une guerre directe contre la Russie de Poutine — dont les drones ont déjà commencé à envahir le ciel européen.

Des leçons romaines aux anges de l’Histoire en passant par l’Austro-pop habsbourgeoise, les parutions marquantes du mois d’octobre sont une échappatoire au spectacle macabre de Trump et aux hallucinations de l’IA.

Comme le résume Barbara Cassin — dont le dernier ouvrage se glisse dans notre sélection  : «  si j’avais à définir la culture de l’Europe, je dirais simplement  : il y a des choses à entendre, il y a des livres à lire.  »

On se retrouve en librairie  ?

Rejeté comme «  humiliant  » dans toute l’Europe, c’est en France que la critique contre l’accord de Turnberry est la plus vive.

Avec 70  % de sondés en faveur de la démission d’Ursula von der Leyen, l’opinion française est-elle en train de basculer  ?

Jean-Yves Dormagen étudie la manière dont la demande de réponse européenne se répartit dans l’électorat — à quelques mois du début de la campagne présidentielle.