
This note proposes a review of the Europeans’ Iranian policy and an aggiornamento of its ambitions in the light of the crucial deadlines ahead.
This note proposes a review of the Europeans’ Iranian policy and an aggiornamento of its ambitions in the light of the crucial deadlines ahead.
Alors que l’attention internationale est presque exclusivement consacrée à l’épidémie du coronavirus, la crise politique irakienne se poursuit, sous-tendue par la rivalité entre les Etats-Unis et l’Iran.
Près d’un mois après le dernier sommet OPEP+ qui a donné lieu à une violente guerre des prix du pétrole, ayant elle-même précipité le prix du baril à un niveau record de 20$ le 18 mars, les principales parties prenantes de cet épisode ne sont toujours pas parvenues à un accord de réduction de la production afin de stabiliser les prix.
La région d’Idlib, ultime bastion de l’opposition syrienne, est aujourd’hui au cœur d’un jeu géopolitique complexe qui cristallise les divergences d’agenda entre Moscou et Ankara. Les deux puissances sont certes des partenaires stratégiques mais poursuivent des objectifs distincts. Ces paragraphes proposent un état des lieux des rapports de force actuels en passe de façonner le futur du nord de la Syrie.
Puisque les traditions des fêtes de fin d’année iraniennes (21 mars) sont rendues impossibles par l’épidémie de coronavirus, les Téhéranais trouvent dans la cuisine, la poésie et les amitiées imprévues des formes de consolation et d’espoir.
Alors que la crise du coronavirus fait rage en Iran, que les autorités iranienne demandent l’aide de la communauté internationale et qu’un grand nombre de pays appellent les Etats-Unis à lever leurs sanctions contre l’Iran afin d’aider le pays à surmonter cette crise et lui permettre de recevoir plus facilement un soutien financier et médical, l’administration Trump poursuit sa politique de « pression maximale ». En quoi les sanctions nuisent à la lutte contre le coronavirus ? Quelle est la position actuelle de l’administration Trump ? L’administration iranienne est-elle responsable de ce blocage ? La réponse en trois points et deux cartes.
Le 13 mars, le Premier Ministre indien Modi devait venir à Bruxelles pour le sommet Inde-Union européenne, reporté à cause du coronavirus, ainsi évitant un sommet sous haute tension.
Le 5 mars dernier, l’Arabie saoudite et la Russie ont été les principaux protagonistes du sommet extraordinaire OPEP+ réuni à Vienne pour trouver une réponse collective à la crise du coronavirus et à la pression sur le prix du pétrole. Ce sommet s’est soldé par un échec, la Russie refusant de réduire encore davantage sa production pour soutenir les prix. Ce lundi 9 mars, les marchés pétroliers se sont réveillés devant la dégringolade du prix du brut, après que l’Arabie saoudite a réagi à l’opposition russe en « ouvrant les vannes ».
Au pouvoir depuis 2014, Narendra Modi a confirmé sa domination sur la politique indienne aux élections de 2019 : son parti, le BJP (Parti indien du peuple), a gagné une majorité écrasante grâce (en partie) à des positions orientées de plus en plus vers les questions de sécurité et nationales-populistes. Son contrôle de la politique indienne transformera-t-il l’Inde en un État sécuritaire ? Pour connaître la figure de Modi dans une période où le style populiste est de plus en plus présent sur la scène internationale, nous publions ici une partie des réflexions que Christophe Jaffrelot, directeur de recherche au CNRS, a partagées lors d’une conférence qu’il a tenue à l’École normale supérieure le 9 avril 2019.
Cette semaine (5-6 mars) s’ouvre la réunion interministérielle de l’OPEP et de l’OPEP+ (dont la Russie). La géopolitique est revenue sur le devant de la scène énergétique mondiale, d’abord comme facteur d’incertitude.