 
        Dans un ambitieux « morceau d’autocritique allemande », l’auteur de La Montagne magique proposait, depuis les États-Unis, une interprétation de la montée et de la chute du nazisme.
En ce jour d’élections, nous traduisons en français l’essai fulgurant où Thomas Mann tente de capturer l’essence d’un pays.
 
         
         
         
         
         
         
         
        