Lebensraum : de Hitler à Trump, sources et généalogie d’un concept

Depuis un an, la Maison-Blanche a développé un argumentaire révisionniste  : les États-Unis auraient «  besoin  » de s’étendre.

Prendre le Groenland serait devenu une nécessité «  vitale  ».

Pour comprendre le recours désinhibé de Trump au concept nazi de Lebensraum, nous traduisons et expliquons cinq documents qui forment une généalogie — des biologistes du XIXe siècle à l’AfD.

Une leçon dans la revue

«  Pourquoi Trump a-t-il succédé à Obama, Meloni à Draghi, et pourquoi Marine Le Pen ou Jordan Bardella pourraient-ils prendre la place d’Emmanuel Macron en 2027  ?  »

Hannah Arendt avait déjà posé les questions clefs de notre siècle.

Máriam Martínez-Bascuñán nous invite à redécouvrir une pensée plus actuelle que jamais.

Derniers articles

Dans la tenaille formée par Poutine et Trump, l’Union cherche la voie de l’autonomie stratégique.

Mais a-t-elle seulement le temps de réfléchir à long terme  ?

Lors du panel d’ouverture du Sommet Grand Continent, nous avons demandé à cinq voix qui marquent notre temps d’esquisser une feuille de route.

Il y a cent soixante ans, Dostoïevski racontait cette histoire extraordinaire.

Dans un passage de Saint-Pétersbourg, un fonctionnaire de l’Empire se fait avaler par un crocodile.

Depuis le ventre de ce nouveau Léviathan, il imagine, entre délire et fantasmagorie, une nouvelle société — la nôtre  ?

Pour Noël, le Grand Continent vous offre la lecture de ce délicieux petit conte injustement trop méconnu en France.

La prophétie et l’apocalypse sont des genres littéraires anciens, éprouvés, souvent assez risqués.

Le conseiller du Vatican pour l’IA Paolo Benanti a lu pour nous le dernier texte de Peter Thiel.

Le fondateur de Palantir y parle d’Antéchrist, d’Armageddon, de Francis Bacon et du manga One Piece — mais il décrit en négatif son programme violent de prise de contrôle de toutes les structures du pouvoir.

L’Avent de l’interrègne 8/9.

Prononcé lors du premier congrès international des écrivains pour la défense de la culture, ce discours est l’une des pièces maîtresses de l’œuvre de l’un des plus grands dramaturges et poètes du XXe siècle.

Il se pose — et il nous pose — toujours la même question.

«  L’indignation existe, l’adversaire est désigné. Mais comment le vaincre  ?  »