
Le « miracle tunisien », associé à l’épanouissement d’une démocratie après les printemps arabes, cache mal les grandes difficultés économiques que traverse le pays, toujours très dépendant de ses prêteurs et sans réelle perspective de réformes. Pour Francis Ghilès, la Tunisie devrait compter sur sa jeunesse et sur des secteurs précis pour relancer son économie.