Hier, mardi 25 mars, après trois jours de négociations en Arabie saoudite, deux accords de cessez-le-feu partiels entre l’Ukraine et la Russie ont été conclus par l’intermédiaire des États-Unis : sur les infrastructures énergétiques, et en mer Noire. Cependant, les déclarations contradictoires des parties impliquées ainsi que l’absence de mécanismes visant à tenir une partie responsable d’éventuelles violations suggèrent que Kiev et Moscou ont une conception différente de ce qui a fait l’objet d’accords à Riyad.
Après que les États-Unis ont annoncé qu’un accord en mer Noire avait été trouvé avec la Russie, Moscou a communiqué une liste d’exigences pour sa mise en œuvre qui nécessiteraient la levée de certaines sanctions européennes sur des banques russes.