
« Alors que nous étions occupés à célébrer la fin de l’histoire, l’histoire préparait son retour. » Dans son premier discours public depuis qu’il a quitté la tête du gouvernement, Mario Draghi tente de qualifier l’ère actuelle : sur les cendres de la mondialisation des années 1990, une guerre qui s’étend depuis l’Ukraine jusqu’aux disruptions économiques et sociales qui traversent le continent.