À la veille des élections turques, le GEG Méditerranée propose une analyse plurielle de leurs implications géopolitiques.
Alors que les élections turques approchent à grands pas, que nous révèle la vogue des séries « ottomanes » de la géopolitique de Recep Tayyip Erdoğan ?
Comment Victor Orban s’est-il transformé, d’un jeune homme politique libéral à un dirigeant populiste qui s’autoproclame chef d’une démocratie « illibérale » ?
Ce que nous avons l’habitude de nous raconter à propos de nos origines est faux et perpétue l’idée que l’inégalité sociale est inévitable. S’interrogeant sur la persistance du mythe de la
« révolution agricole », David Graeber et David Wengrow affirment que nos ancêtres ont en fait bien plus à nous apprendre.
Représentant permanent de l’Allemagne auprès des Nations-Unies, Christoph Heusgen nous présente sa vision du rôle des diplomaties allemande, française et européenne dans la géopolitique mondiale.
Les États-Unis sont entrés dans une nouvelle ère, dont nous reconnaissons encore mal l’impact historique qui s’appuie sur une vision cohérente, théorisée, systématisée de la guerre par la contre-insurrection
Le ministre des Affaires étrangères du tout nouveau gouvernement formé par Pedro Sanchez en Espagne nous a livré sa vision de l’avenir politique de l’Europe.
Francis Fukuyama est l’un des plus grands penseurs de la géopolitique mondiale depuis la fin de la Guerre froide. Il nous a confié la traduction de son dernier article, où il souligne les risques que comportent la sacralisation du pouvoir de Xi Jinping.
Pour la première fois en français, le texte source de Capital et idéologie le nouveau livre de Thomas Piketty qui paraitra le 10 mars en anglais.
Dans notre grand entretien avec l’ancien Premier ministre de la Roumanie, nous explorons les ambiguïtés et les non-dits de la relation entre les électeurs roumains, leurs dirigeants et l’Union européenne.