Résultat pour : poutine


Aujourd’hui, mardi 8 avril, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré sur Telegram que «  deux citoyens chinois qui combattaient dans l’armée russe  » ont été arrêtés par des militaires ukrainiens dans la région de Donetsk, sur le territoire ukrainien. Kiev disposerait d’informations suggérant «  qu’il y a beaucoup plus de citoyens chinois dans les unités de l’occupant  ».

Les revenus tirés par Moscou du pétrole et du gaz – essentiels au financement de la machine de guerre de Poutine – ont chuté de 17  % en glissement annuel au mois de mars, poursuivant la tendance à la baisse déjà observée en janvier et février. Cette diminution pourrait s’accentuer, alors que les craintes d’une récession pèsent sur les prix du pétrole au niveau mondial, en baisse depuis l’annonce, le 2 avril, de nouvelles mesures tarifaires par Donald Trump.

Parmi les pays fondateurs, l’Italie est sans doute le plus attaché au lien transatlantique et le moins prêt au réarmement.

Giorgia Meloni souhaitait jouer un rôle de pont avec une future administration Trump. Mais face à une présidence brutale et asymétrique, cette position devient difficilement tenable.

Les données de notre dernier sondage Eurobazooka révèlent un paysage politique italien à la fois traversé de peurs nouvelles, de désirs d’autonomie et de profonds clivages politiques.

Alors que l’Europe et le monde se transforment à une vitesse vertigineuse, l’opinion française se structure autour de lignes de plus en plus figées.

L’étude granulaire des données socio-politiques et électorales de notre grand sondage Eurobazooka le montre  : la gauche et le centre sont alignés sur une large gamme de questions de politiques étrangères — plus d’Europe et moins d’États-Unis contre la Russie de Poutine.

Aux marges de ce vaste consensus, les électeurs RN et Reconquête sont ceux qui ont le plus de mal à considérer Trump comme un ennemi.

En Ukraine, les drones et missiles russes continuent de faire des centaines de victimes civiles par semaine, et ce malgré le rétablissement d’une ligne diplomatique directe entre la Maison-Blanche et le Kremlin. Si le secrétaire d’État Marco Rubio a signalé que Washington perdait patience avec les «  discussions sur les discussions  », l’administration Trump ne semble pas prête à exercer davantage de pression directe sur la Russie.

«  Après la pandémie, le monde était mûr  : le moment était venu pour la monarchie. Nous avions besoin d’un monarque.  »

Nous publions aujourd’hui le premier volet d’un entretien fleuve avec Curtis Yarvin, intellectuel clef de la contre-révolution trumpiste et théoricien influent des Lumières noires.