Contrairement à de nombreux domaines, le secteur de l’IA ne relève pas d’une bipolarité sino-américaine mais plutôt d’une pyramide avec les États-Unis à sa tête, et la Chine et l’Union à sa base. Si Pékin est leader en matière de recherche sur l’intelligence artificielle, elle dispose de moins d’infrastructures et de puissance de calcul que l’Europe.