
Le géant taïwanais des semi-conducteurs, TSMC, pourrait ouvrir jusqu’à trois usines au Japon, poussé par les risques géopolitiques croissants pesant sur Taïwan. Pour soutenir ses propres acteurs et attirer les investissements étrangers, Tokyo met en place de nouvelles politiques industrielles afin de retrouver son rang d’acteur majeur du secteur.