Résultat pour : la chine


Lundi 17 mars, le constructeur chinois BYD a dévoilé une nouvelle série de voitures électriques capables d’effectuer une charge complète de leurs batteries en 5 minutes, pour une autonomie affichée de 400 kilomètres — soit une vitesse 4,5 fois plus rapide que celle proposée par Tesla. Cette nouvelle technologie pourrait contribuer à booster la part de marché de BYD en Chine, mais également en Europe et en Amérique du Nord.

Le Premier ministre britannique, Keir Starmer, a organisé aujourd’hui, le 15 mars, un sommet virtuel réunissant des dirigeants d’environ 25 pays alliés de l’Ukraine, une coalition de pays «  volontaires  » qui devrait être en première ligne pour aider au respect d’un éventuel cessez-le-feu en Ukraine.

Alors que Donald Trump promet des éléments sur sa proposition de trêve le lundi 17 mars, Starmer a déclaré  : «  Nous ne pouvons pas simplement attendre (…), nous devons continuer à pousser et préparer une paix qui doit être juste et durable (…). Si Poutine veut vraiment la paix, c’est très simple  : il doit cesser ses attaques barbares contre l’Ukraine et accepter un cessez-le-feu  ».

Dans le pays aux 400 guerres, la violence fait partie de la vie quotidienne.

Le soft power américain avait suffi à conquérir l’Europe à bas bruit — nous faisons aujourd’hui, comme le reste du monde, l’expérience de la brutalité d’une nation guerrière à l’Ouest.

Alors qu’Arte diffuse ce soir le documentaire «  L’Amérique en guerre  », nous revenons avec Pierre Haski sur l’actualité d’une histoire militaire réactivée par le tournant impérial de Trump.

Rome en Amérique. Trump en César. Vance en Auguste. Musk en riche affranchi.

L’Urbs est désormais Washington — et l’Italie de Meloni, comme d’autres, est prisonnière de son statut d’État-client aux marges de l’Empire.

Vittorio Emanuele Parsi analyse un renversement et pose une question clef  : dans cette nouvelle réalité, comment trouver sa place dans l’équation  ?

De la Maison-Blanche au Kremlin, une conspiration pour soumettre l’Europe à des changements de régime est en marche — elle passe par des algorithmes et des robots.

Mais face à la guerre totale de l’information menée sur le continent, des forces immenses n’ont pas encore donné  : il est possible de sauver la démocratie.

Xavier Bouvet, Emmanuel Rivière et Benoît Thieulin proposent un chemin et une méthode pour mobiliser les imaginaires.

Des liasses de dollars cachés sous le parquet, des transactions crypto. Des hommes de l’ombre et des icônes de TikTok. Des légionnaires solidement armés, des propagandistes qui incitent à la «  haine des juifs  », des influenceurs masculinistes qui disent qu’il faut «  violer les femmes  ».

Entre l’Église orthodoxe et le révisionnisme fasciste — partout la main de Moscou et depuis quelques semaines une ingérence de plus en plus bruyante  : celle d’Elon Musk et de la Maison-Blanche.

Pour la première fois, nous retraçons d’une manière systématique la trajectoire des hommes clefs de la phalange que Georgescu cherche à mobiliser pour prendre la Roumanie.

Selon la dernière enquête du projet de recherche «  Chroniques  » (Хроники), 54  % des Russes ressentent des effets négatifs liés à l’invasion de l’Ukraine de 2022 et plus d’un tiers (36  %) relèvent une détérioration de leur situation financière. Le sondage révèle d’importantes divisions quant à ce que la politique vis-à-vis de l’Ukraine devrait être à l’avenir, alors que Poutine cherche à transformer le récit d’une défaite militaire en celui d’une victoire politique et diplomatique.

L’extrême concentration de la richesse dans le capitalisme américain est en train de démanteler la démocratie aux États-Unis à une vitesse vertigineuse.

C’est une menace existentielle pour l’Europe.

Pour le ministre espagnol Pablo Bustinduy, il n’est pas trop tard — à condition d’aller à la racine du problème.

La position des pays face à l’invasion de l’Ukraine permet d’étudier l’évolution des rapports de force et des équilibres à l’échelle planétaire.

Trois ans après l’invasion à grande échelle de l’Ukraine, nous continuons notre travail de cartographie des positionnements internationaux en publiant un nouveau jeu de cartes exclusives et une série de tableaux pour prendre la mesure de la disruption Trump.

Trumpisme de gouvernement.

Techno-césarisme.

Messianisme apocalyptique.

Au-delà des scènes folkloriques et des memes, entre les tronçonneuses en argent, les crypto-paillettes et les «  saluts romains  », la CPAC de Washington de ce week-end a surtout montré l’alliage complexe de la triple essence du projet Trump.

Marlène Laruelle y était. Elle dresse l’équation instable de l’accélération réactionnaire.