« La fin du monde n’est pas si symbolique que cela », une conversation avec Mathias Énard
Littérature 
        Notre boussole est cassée.
Dans son œuvre, Mathias Enard a fait du voyage aux frontières un principe poétique et littéraire.
Pour comprendre à nouveau le monde par les limites, il cherche des lieux, les explore : Beyrouth, Le Caire, Téhéran, Berlin.
Nous le rencontrons à l’occasion de la sortie du premier volume de son nouveau cycle romanesque, Mélancolie des confins.
 
         
         
         
         
         
         
         
        