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Politique


Sommes-nous dans un nouvel âge nucléaire ?

Paris • Débats
16
décembre 2025
Mardi du Grand Continent à l'École normale supérieure, avec Héloïse Fayet, Louis Gautier, Frédéric Gloriant et Bruno Tertrais.
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Du Royaume-Uni de Starmer au Danemark de Frederiksen, les gauches sont en train d’inventer une nouvelle formule politique de conquête du pouvoir qui veut dépasser le libéralisme.

Sont-ils des apprentis sorciers ou les précurseurs d’une dynamique européenne pour la troisième gauche  ?

Mark Leonard décrypte l’une des tendances politiques qui pourrait définir l’année qui vient.

La Russie le dit explicitement  : elle est déjà entrée en guerre contre l’Europe.

Pourtant, peu de dirigeants dans l’Union sont aujourd’hui capables d’articuler un constat aussi clair.

Hanno Pevkur, le ministre de la Défense de l’Estonie, est l’une des voix de la résistance européenne qui organise la protection du continent face à Poutine.

Face à Trump, Xi et Poutine, les opinions attendent beaucoup de l’Europe.

Pourtant, cette demande semble démesurée par rapport à ce que peut offrir l’Union.

À l’occasion de notre sondage Eurobazooka, cinq voix réunies lors du Sommet Grand Continent sont revenues sur ce décalage.

Le banquier le plus écouté de la planète a quelque chose à dire  : «  une Europe faible est néfaste — pour les États-Unis comme pour tout le monde civilisé  ».

Après un an d’administration Trump, Wall Street a appris à parler le langage MAGA mais souhaite infléchir la ligne du Pentagone  : «  si l’Union se fragmente, les États-Unis en seront affectés plus que quiconque  ».

En Europe, certains pensent que la guerre entre la Russie et l’Europe n’a pas encore commencé.

Pour le cerveau géopolitique de Poutine, il faut cesser d’être naïf  : «  cette guerre a déjà commencé. Simplement, nous ne l’appelons pas encore ainsi. Notre véritable adversaire est bien l’Europe.  »

Nous le traduisons.