Résultat pour : trump


Après avoir accueilli le Premier ministre japonais Fumio Kishida pour une visite d’État à Washington, Joe Biden organise aujourd’hui le premier sommet trilatéral États-Unis-Japon-Philippines. Face aux incertitudes liées à un retour de Trump, le président démocrate veut rassurer ses alliés sur l’avenir de la présence américaine dans la région.

Aujourd’hui, les ministres des affaires étrangères des huit pays nordiques et baltiques se réunissent sur l’île suédoise de Gotland, en format NB8 (Nordic-Baltic Eight). Lancé dans les années 1990, ce format a vu une coopération renforcée en matière de défense depuis l’invasion russe de l’Ukraine en février 2022. C’est la première fois que l’intégralité des pays est dans l’OTAN, cette réunion ouvre donc une séquence avec le sommet de Washington de juillet.

C’est l’événement transatlantique le plus important de l’année.

Le 6 juin aura lieu une commémoration historique — les 80 ans du Débarquement de Normandie. Alors que le lien entre les deux rives de l’océan doit faire face aux incertitudes de l’année des grandes élections, le travail de mémoire revêt en 2024 une coloration politique. Philippe Etienne, président de la mission chargée de cette commémoration, revient sur le rôle clef de cette mémoire dans le récit franco-américain.

Aujourd’hui s’achève la sixième réunion ministérielle du Conseil du commerce et des technologies Union-États-Unis, réuni du 4 au 5 avril en présence d’Antony Blinken et de Gina Raimondo. Si le format a produit des résultats modérés jusqu’à présent – particulièrement dans le domaine du commerce –, l’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche pourrait mettre complètement fin à ses ambitions.

Mercredi 3 avril, les membres de l’Alliance atlantique se sont mis d’accord sur le principe d’un plan visant à financer collectivement l’assistance à l’Ukraine à hauteur de 100 milliards d’euros sur une durée de cinq ans. Cette «  Mission pour l’Ukraine  », à l’initiative de Jens Stoltenberg, pourrait confier à l’OTAN un rôle moteur en amont des élections américaines.

Économie contre diplomatie.

L’Iran s’est construit dans les sanctions. Si ses dirigeants se félicitent aujourd’hui d’avoir créé une économie de résilience sui generis — de l’industrie automobile aux armements — ce modèle occulte un problème de fond  : les Européens ne veulent plus investir. Or sans cet outil clef pour la négociation, les possibilités d’un accord paraissent de plus en plus fragiles.

L’un des principaux commandants de la Force Al-Qods au moment de sa mort, Mohammad Reza Zahedi avait été nommé à la tête des forces aériennes et des forces terrestres du Corps des gardiens de la révolution islamique le 21 janvier 2006. Il était surtout, depuis plus de vingt ans, l’un des alliés les plus efficaces du Hezbollah et un ennemi reconnu d’Israël.

Un portrait géopolitique.

Mohammad Reza Zahedi et six Gardiens de la révolution iraniens ont été tués en Syrie par une frappe israélienne ciblée contre un bâtiment diplomatique de la République islamique d’Iran. Les États-Unis ont fait savoir qu’ils n’avaient pas été prévenu en amont. Le Kremlin a convoqué une réunion publique du Conseil de Sécurité de l’ONU. Nous faisons le point sur les réactions internationales.

Nous sommes le 1er avril, et cela fait quarante ans jour pour jour que l’Europe n’est pas technologiquement morte. Pourquoi n’en avons-nous tiré aucune conséquence culturelle  ?

À partir du succès et de la centralité documentée de l’entreprise néerlandaise ASML, au cœur de l’écosystème technologique et économique mondial, Alessandro Aresu appelle à un sursaut.