Comprendre Trump et ses idéologues
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Demain matin s’ouvre le Forum de sécurité de Varsovie, en partenariat avec la revue.
Pour sa présidente Katarzyna Pisarska, l’Union est face à un choix simple : si elle ne fait pas gagner l’Ukraine maintenant, elle accepte de livrer ses citoyens à une guerre directe contre la Russie de Poutine — dont les drones ont déjà commencé à envahir le ciel européen.
Les Moldaves sont appelés aux urnes aujourd’hui, dimanche 28 septembre, pour des élections législatives qui seront déterminantes pour l’avenir européen du pays.
La Russie de Poutine cherche à peser sur le résultat en arsenalisant les écrans et les autels.
Des leçons romaines aux anges de l’Histoire en passant par l’Austro-pop habsbourgeoise, les parutions marquantes du mois d’octobre sont une échappatoire au spectacle macabre de Trump et aux hallucinations de l’IA.
Comme le résume Barbara Cassin — dont le dernier ouvrage se glisse dans notre sélection : « si j’avais à définir la culture de l’Europe, je dirais simplement : il y a des choses à entendre, il y a des livres à lire. »
On se retrouve en librairie ?
Aujourd’hui, mercredi 24 septembre, le chancelier Friedrich Merz prendra la parole lors d’un débat général au Bundestag sur le budget 2026.
Dans le cadre de son plan adopté en juin, le gouvernement allemand vise une augmentation des dépenses de défense à 2,8 % du PIB l’an prochain et 3,5 % d’ici 2029.
Alors que la Russie a violé à au moins 20 reprises les espaces aériens des membres européens de l’OTAN depuis février 2022, l’Alliance a dénoncé aujourd’hui, mardi 23 septembre, le comportement « irresponsable » de Moscou et annoncé renforcer son flanc oriental avec des moyens supplémentaires.
À New York, les États Unis reçoivent dans leur capitale internationale — qui est aussi celle de l’empire Trump — leurs affidés. Pour distribuer les bons et les mauvais points.
Mais sont-ils réellement si puissants ?
L’impasse sur le Moyen-Orient et l’Ukraine, le refus de la transformation écologique de l’économie, ainsi que l’incapacité à comprendre la demande des peuples de voir leur autonomie respectée ont glacé une salle qui s’attendait à entendre des énormités.
Nous avons sélectionné les moments clefs de cette intervention.
Dans un discours historique et anti-impérial qui a électrisé la salle de l’Assemblée générale des Nations unies avant l’entrée en scène de Donald Trump, Lula s’en est pris à l’ingérence américaine en articulant une doctrine : un nouvel exceptionnalisme sud-américain — la possibilité d’une renaissance du multilatéralisme depuis un continent sans arme de destruction massive et construit sur l’aspiration des peuples à la justice et à la paix.
Nous le traduisons.
Le débat général de l’Assemblée générale des Nations unies s’ouvre aujourd’hui, mardi 23 septembre, pour une durée de six jours. Plus de 140 chefs d’État et de gouvernement devraient se succéder à la tribune de l’ONU afin de s’adresser aux dirigeants réunis à New York pour l’occasion.
L’unité — sans les tabous.
À Porto — à la veille de son départ pour l’Assemblée générale des Nations-Unies et à l’issue d’une tournée européenne qui l’a vu rencontrer les 27 chefs d’État et de gouvernement — nous avons rencontré le président du Conseil européen.
Entre Trump et Poutine, comment construire un consensus européen pour tourner la page de l’été de l’humiliation ?
Les revenus perçus par le Kremlin pour ses ventes de gaz et de pétrole devraient se contracter de 23 % en septembre par rapport à l’année dernière, et représenter environ 592 milliards de roubles.
L’énergie constitue la première source de revenus pour le Kremlin, et représente environ un quart du budget fédéral.
