Résultat pour : poutine


«  Si l’impérialisme agressif de la Russie de Vladimir Poutine était réellement perçu comme un risque existentiel pour l’Union comme c’était le cas du Covid-19, le choix d’une dette commune serait vite fait.  »

Dans une pièce de doctrine, le Haut Représentant de l’Union européenne pour la politique étrangère Josep Borrell réagit au rapport Draghi.

Comment éviter la «  lente agonie  » économico-stratégique contre laquelle nous met en garde Mario Draghi  ?

Si elle ne veut pas s’enfermer par facilité dans l’impuissance, l’Europe doit changer de régime — sans tarder.

De la circulation des fonctionnaires aux instruments budgétaires, Samuel B. H. Faure dépiste les points de blocage et formule quatre recommandations concrètes pour provoquer une transformation.

Vladimir Poutine a déclaré jeudi 19 septembre que la production russe de drones allait être multipliée par 10 entre 2023 et 2024, passant de 140 000 à 1,4 million d’unités par an. L’Ukraine devrait quant à elle être en mesure de produire un peu plus d’un million d’aéronefs cette année – un chiffre qui pourrait être multiplié par 2 voire 3 avec plus de ressources financières.

Les attaques djihadistes de Bamako cette semaine pourraient être un tournant dans le grand jeu du Sahel.

Réorganisant sa stratégie vers des dynamiques internes, Al-Qaïda menace la clef de l’influence de Wagner dans la région  : l’assurance à ceux qui ont pris de pouvoir par la force de le conserver. En estompant toute référence à son ennemi historique occidental, le groupe terroriste cible l’État islamique et la Russie — confirmant une dynamique entamée depuis le retrait de Barkhane.

Wassim Nasr signe une étude extrêmement fouillée.

Bientôt un an après le 7 octobre, la région est suspendue dans une situation étrange — la violence franchit toujours de nouveaux seuils mais sans se muer en guerre ouverte à l’échelle régionale. Entre l’Iran et Israël, comment expliquer cet équilibre dans l’escalade  ?

Rencontre avec l’ancien ministre de la Culture libanais, ancien envoyé spécial des Nations Unies pour la Libye et auteur de La Tentation de Mars. Guerre et paix au XXIe siècle (Fayard, 2024), Ghassan Salamé.

Le colistier de Donald Trump, J.D. Vance, a laissé entrevoir le plan du candidat républicain pour «  mettre fin à la guerre en Ukraine en 24 heures  » s’il était élu. Démilitarisation, reconnaissance de facto de près d’un cinquième du territoire ukrainien comme russe… si elle venait à se concrétiser, la stratégie de Trump constituerait une victoire massive pour Vladimir Poutine.

La politique étrangère fait traditionnellement l’objet d’une attention restreinte dans les cycles électoraux américains. Durant le premier débat ayant opposé Donald Trump à Kamala Harris, les deux candidats ont néanmoins abordé à plusieurs reprises la guerre en Ukraine, la situation au Moyen-Orient ou la rivalité vis-à-vis de la Chine, laissant entrevoir leur vision des enjeux globaux.

Quelle serait la politique étrangère d’un Trump II  ?

Ce soir, Kamala Harris et Donald Trump vont débattre pour la première fois — et il n’est pas sûr que le soutien à l’Ukraine sera mentionné. Pourtant, l’élection du 5 novembre pourrait marquer une série de ruptures dans la diplomatie de Washington. Pour en mesurer les conséquences, nous interrogeons Dana W. White, ancienne porte-parole du Pentagone et du Secrétaire à la Défense de Trump, James Mattis.

Depuis le début de la guerre en Ukraine, les exportations de l’Union vers la Russie ont été divisées par quatre, passant de 200 millions en 2021 à 50 l’an dernier. À l’inverse, les produits européens trouvent de plus en plus de nouveaux marchés dans les pays d’Asie centrale et du Sud du Caucase, qui servent de point de transit vers la Russie.