Résultat pour : la chine


Le premier tour de la primaire de l’écologie aura lieu du 16 au 19 septembre prochain. Nous avons demandé à trois candidats écologistes de prendre position sur le volet politique étrangère et européenne de leur programme. Éric Piolle répond ici à nos questions sur l’Union européenne, la politique étrangère de la France et la diplomatie de l’Anthropocène.

Aujourd’hui se tient une réunion au format dit «  2+2  » entre les ministres des Affaires étrangères et de la Défense d’Australie et de Corée du Sud, à Séoul. Ce rendez-vous s’inscrit dans une série de sommets organisés par l’Australie entre les partenaires de la région Indo-Pacifique, qui ont pour but de renforcer les liens économiques et sécuritaires des pays membres de l’Asie non-chinoise – six points synthétiques.

Le Covid-19 a-t-il normalisé le recours à l’endettement au point d’installer un nouveau paradigme  ? Au cours de l’histoire, la fonction de la dette a beaucoup évolué, de même que le regard porté sur elle – jusqu’à aujourd’hui. Dans cette note pour le Groupe d’études géopolitiques, l’économiste Barry Eichengreen plaide pour une défense constructive de la dette publique après la pandémie.

De Tallinn à Bucarest, du hongrois au finnois, du recueil de poèmes au roman graphique  : découvrez la sélection littéraire de la rentrée par les correspondants européens du Grand Continent, en dix langues.

Est-il possible de tracer une frontière qui sépare l’état de paix de l’état de guerre, ce «  nihil medium  » qu’évoquait Cicéron  ? Si les terrains des conflits se sont déplacés des champs de bataille au cyber, au domaine de l’information et au big data, la question liée à l’absence d’une séparation nette, responsable de cet «  état intermédiaire  », se posait déjà à la fin des années 1930. Céline Jouin, spécialiste de Carl Schmitt, présente ce texte clef du juriste allemand – pour la première fois en français.

La pandémie a changé pour toujours la nature du pouvoir. Après la crise, trois hypothèses extrêmes se dessinent  : un scénario bureaucratique et dirigiste, un scénario «  populiste  » ou bien une transformation en profondeur des structures de pouvoir.

Si Joe Biden souhaite réellement «  reconstruire en mieux  », il devra prendre en compte les nouveaux paramètres des inégalités à l’ère numérique afin de construire «  vers l’avant  ». Selon Nathan Gardels, cofondateur de l’Institut Berggruen, la solution viendra des États, comme la Californie, tant en matière de participation démocratique que d’innovation.