Début juillet, une énième pénurie d’électricité a déclenché une vague de protestations à Bassora, dans le sud de l’Irak. Désormais diffuse et organisée, la mobilisation dénonce pêle-mêle la pénurie chronique d’eau et de courant, la déficience des services publics, le manque d’opportunités professionnelles et, surtout, la corruption de la classe politique.
Nils Bartolomeo
