
De Proust à Kafka en passant Annie Ernaux — quelque part entre la mer de Cadaqués et un bel appartement de Barcelone — Milena Busquets nous plonge dans un voyage intime où elle se débat contre les pièges de l’autofiction.
En explorant dans son dernier livre un jeu parfois complexe et troublant entre ses souvenirs et leur représentation au cinéma, c’est hors du roman qu’elle nous invite à méditer une évidence oubliée : vivre peut être doux.