Dans son premier texte programmatique sur l’Europe, la candidate à l’élection présidentielle Anne Hidalgo décline ses propositions.
Dans ce texte, le président brésilien Lula dresse un constat sévère sur la situation de son pays mais livre des perspectives optimistes pour faire retrouver au Brésil son rang mondial.
La montée du mécontentement au niveau mondial oblige les États à trouver des solutions à court terme. Pour résoudre cette crise, le multilatéralisme de demain devra miser sur une intégration profonde des citoyens – et sur une planification négociée.
Le Green Deal a le potentiel d’être une révolution politique. Aux échelles continentales, nationales et locales, son récit peut changer l’identité de l’Europe. Une pièce de doctrine signée Laurence Tubiana.
Pour la rentrée politique, les économistes Jean Tirole et Olivier Blanchard produisent un aggiornamento synthétique du rapport rendu par la commission internationale qu’ils ont présidée.
La décision de construire et d’habiter sur le flanc d’un volcan susceptible d’entrer en éruption est-elle si irrationnelle ? La pandémie de Covid-19 et les catastrophes de l’Anthropocène le prouvent : nous préférons, encore, échanger la fragilité de l’avenir contre l’utilité et le confort du présent.
La pandémie a changé pour toujours la nature du pouvoir. Après la crise, trois hypothèses extrêmes se dessinent : un scénario bureaucratique et dirigiste, un scénario « populiste » ou bien une transformation en profondeur des structures de pouvoir.
Pour accoucher d’une véritable politique d’aménagement du territoire, l’Europe doit profiter des plans de relance. Elle devra aussi tenir compte des lignes de fracture apparues sur le continent depuis le début des années 2000.
Alors que le consensus de la modernité verte semble s’imposer partout, nous pouvons encore choisir son modèle. Au-delà de l’alternative stérile entre capitalisme décarboné et apocalypse, l’Europe a les moyens d’inventer une proposition politique moins tributaire de l’esprit de conquête que celles de la Chine et des États-Unis.
Le sommet climat des 22 et 23 avril est une démonstration de force remettant les États-Unis au cœur de la course au leadership climatique. Si l’Union et la France veulent continuer à jouer un rôle de premier plan dans la lutte contre les changements climatiques, elles doivent se doter d’une doctrine géopolitique des changements climatiques.