« Les mythes ne sont pas seulement des miroirs, mais des galeries de miroirs. Lorsque nous y pénétrons, ils deviennent des systèmes de pensée qui se ramifient en direction du monde extérieur, et des terriers d’éclaircissements qui s’enracinent dans l’inconscient. » Une leçon magistrale signée Alberto Manguel.
Aux origines de l’anthropocène. Une pièce de doctrine signée Paul Magnette.
En amont du sommet entre l’Union africaine et l’Union européenne, Achille Mbembe propose de sortir d’une vision apolitique du développement.
Giovanni Orsina dissèque les quatre mouvements de la symphonie post-Covid.
Deux imaginaires apocalyptiques s’affrontent en Europe. Dans cette pièce de doctrine, Ivan Krastev décèle des clivages profonds qui agitent le continent pendant les années vingt.
Dans son premier texte programmatique sur l’Europe, la candidate à l’élection présidentielle Anne Hidalgo décline ses propositions.
Dans ce texte, le président brésilien Lula dresse un constat sévère sur la situation de son pays mais livre des perspectives optimistes pour faire retrouver au Brésil son rang mondial.
La montée du mécontentement au niveau mondial oblige les États à trouver des solutions à court terme. Pour résoudre cette crise, le multilatéralisme de demain devra miser sur une intégration profonde des citoyens – et sur une planification négociée.
Le Green Deal a le potentiel d’être une révolution politique. Aux échelles continentales, nationales et locales, son récit peut changer l’identité de l’Europe. Une pièce de doctrine signée Laurence Tubiana.
Pour la rentrée politique, les économistes Jean Tirole et Olivier Blanchard produisent un aggiornamento synthétique du rapport rendu par la commission internationale qu’ils ont présidée.