La Commission a révélé aujourd’hui le nom des entreprises considérées comme « contrôleurs d’accès » (gatekeepers), catégorie clé du règlement sur les marchés numériques.

Depuis plusieurs mois, le sénateur démocrate de Virginie-Occidentale Joe Manchin fait planer le doute sur une éventuelle candidature à l’élection présidentielle de 2024 sur une liste tierce. Tandis que les Démocrates cherchent à conserver leur faible majorité au Sénat, une candidature de Manchin à la présidentielle nuirait considérablement au parti au pouvoir.

Selon l'Armed Conflict Location & Event Data Project, au Mali, les forces armées de la junte au pouvoir et le groupe Wagner enregistrent plus de 420 victimes en 2023, contre 309 pour les forces djihadistes.

Le ministre des affaires étrangères italien effectue du 3 au 5 septembre une visite de deux jours en Chine. D'ici la fin de l'année, l'Italie devra décider de renouveler ou non le protocole d’accord « non contraignant » qui avait acté en 2019 la participation de l’Italie aux Nouvelles routes de la soie. Si la sortie de Rome est probable, les deux parties semblent vouloir éviter une confrontation diplomatique.

La semaine dernière, l’armée ukrainienne effectuait une percée remarquée dans l’oblast de Zaporijia en y capturant le village de Robotyne. Pour exploiter cette brèche, Kiev devra continuer à exercer une pression sur les forces russes tout en continuant à avancer en direction de la mer d’Azov.

Si les sanctions occidentales ont visé les exportations russes d’hydrocarbures suite à l’invasion de l’Ukraine, le secteur nucléaire n’a, pour le moment, pas été concerné. En cause, le rôle global joué par Rosatom dans l’extraction jusqu’au raffinage de l’uranium.

En amont d’un sommet du G20 qui se tiendra les 9 et 10 septembre à New Delhi, la Chine a publié lundi l’édition 2023 de sa « carte standard ». À travers celle-ci, Pékin revendique une partie du territoire de l’Inde, de la Russie, l’île de Taïwan ainsi que la majeure partie de la mer de Chine méridionale.

Un mois après le coup d’État ayant conduit à la destitution du président nigérien Mohamed Bazoum, des militaires ont annoncé avoir mis fin au régime d’Ali Bongo au Gabon. Selon les putschistes, ce coup d’État est motivé par les « résultats tronqués » ayant conduit à sa réélection.

Alors que les feux de forêt ravagent la Grèce, qui a connu cette année l’un de ses pires étés d'incendies, un récit politique selon lequel ce sont les migrants qui seraient responsables des feux s’est rapidement répandu — provoquant une violence inouïe. Des « comités de vigilance » organisent des « parties de chasse ». La mort des 18 migrants dont deux enfants, qui se cachaient de la police dans la forêt en Evros, n'a pas affaibli cette dynamique.

Dans la nuit du 29 au 30 août, des militaires gabonais ont annoncé à la télévision la « dissolution » des principales institutions du pays. Le Président Ali Bongo Ondimba, chef de l’État depuis 14 ans, a été placé en « résidence surveillée ». Après le putsch au Niger, ce nouveau pronunciamento s’inscrit dans une série de coups de force que les réactions occidentales ne parviennent pas à freiner.