Cela fait deux semaines que les manifestations des camionneurs et des agriculteurs péruviens contre la hausse des prix de l'essence et des engrais ont commencé. Jusqu'à présent, quatre personnes ont été tuées dans des affrontements avec la police. On compte un grand nombre de blessés, tant physiquement que psychologiquement.

Depuis le vendredi 18 mars, le gouvernement espagnol soutient le Maroc dans le conflit du Sahara. Le même jour, le Cabinet Royal marocain a publié une lettre dans laquelle Pedro Sánchez, le Premier Ministre espagnol, a déclaré que la proposition marocaine d'autonomie pour le Sahara est "la base la plus sérieuse, crédible et réaliste pour la résolution du différend". 

Pour comprendre la tectonique des plaques géopolitiques causée par la guerre en Ukraine, on peut analyser trois cartes qui montrent l’évolution des positions diplomatiques des 193 pays du monde depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie le 24 février. Ces évolutions permettent d’apercevoir les nouvelles alliances du monde en reconfiguration dans les années Vingt.

Depuis hier, le secrétaire général de l’OTAN Jens Stoltenberg reçoit les ministres des Affaires étrangères des États membres de l’organisation pour un sommet de deux jours.

Pour son premier voyage à l'étranger en tant que président du Chili, Gabriel Boric est en Argentine depuis dimanche dernier. Le séjour de Boric, qui durera deux jours, est un événement clé pour les deux pays, car il devrait permettre de renforcer les relations diplomatiques et commerciales.

Dimanche 3 avril, des élections législatives ont eu lieu en Hongrie. Bilan en cinq points.

L’Eurogroupe se réunit aujourd’hui au Luxembourg pour discuter des conséquences de la guerre en Ukraine, en particulier en matière d’inflation.

Le second tour des élections présidentielles au Costa Rica s'est déroulé le dimanche 3 avril entre l'ancien président José María Figueres du Partido de Liberación Nacional (PLN) et Rodrigo Chaves Robles du Partido Progreso Social Democrático (PPSD).

Pour cartographier l’exposition de chaque pays européen, il faut se baser sur un « taux de dépendance » énergétique à la Russie. Ce taux est pour chaque État la part de la demande d’énergie primaire directement satisfaite par les importations de matières premières russes. Cette méthode, malgré ses limites, dresse une image plus nette de nos dépendances à l'échelle continentale.