Au cours des premiers mois du conflit, les pays et les institutions européennes ont grandement contribué au soutien de l’Ukraine en apportant à Kyiv une assistance financière, militaire et humanitaire. Toutefois, durant le mois de juillet, ces aides ont drastiquement chuté, soulevant la question de la viabilité de cette politique d’assistance à long terme.

Avec plus de 700 000 hectares brûlés à la mi-août, les forêts d’Europe connaissent leur pire année depuis la mise en place d’un système de collecte de statistiques en 2006 par le Système européen d'information sur les feux de forêts.

Hier, les États-Unis et Taïwan ont conjointement annoncé qu’ils allaient entamer des négociations visant à un rapprochement en matière de commerce et d’investissement. Cette séquence intervient dans un contexte de montée des tensions entre Washington et Pékin qui a culminé avec la visite de Nancy Pelosi le 2 août dernier.

En raison d’importantes sécheresses allant de l’Amérique du Nord à la Chine en passant par l’Europe, la baisse globale du niveau d’eau des fleuves et des réservoirs hydrauliques fait peser un risque sur la production d’énergie hydraulique, essentielle pour la transition énergétique.

Le 22 juillet dernier, l’Ukraine et la Russie signaient un accord, sous l’égide de la Turquie et des Nations unies, portant sur les exportations de céréales au départ de ports ukrainiens. Tandis que l’insécurité alimentaire progresse partout dans le monde, principalement en raison de la guerre, cet accord a-t-il les effets escomptés ?

Hier, cela faisait un an jour pour jour que Kaboul tombait aux mains des Talibans, mettant fin à la république islamique d'Afghanistan. Depuis, la situation économique du pays a gravement empiré, laissant craindre le scénario d’une crise humanitaire massive qui commence déjà à s’installer progressivement.

Aujourd’hui, le Secrétaire d’État Antony Blinken achève une tournée diplomatique de dix jours qui l’a conduit en Asie du Sud-Est puis en Afrique. Celle-ci a coïncidé avec la publication d’un nouveau document stratégique américain pour l’Afrique subsaharienne, qui désigne la présence chinoise et russe en Afrique comme présentant des « risques d’activités néfastes ».

Mardi, le Lok Sabha, la chambre basse du Parlement indien, a approuvé une loi qui conduirait à l’augmentation de la part d’énergies renouvelables dans le mix énergétique du pays ainsi qu’à l’instauration d’un prix du carbone pour les industriels les plus polluants. Avant sa ratification, cette loi devra toutefois obtenir une majorité des voix à la chambre haute lors d’un vote qui devrait se tenir dans les prochaines semaines.

Au mois d’avril, l’Union européenne avait décidé, à travers son cinquième paquet de sanctions, de mettre fin progressivement à ses importations de charbon russe. À partir d’aujourd’hui aucun États-membre ne pourra en importer, posant la question de sa substitution.

Il y a quelques jours, l’ONG Amnesty International a publié un rapport retentissant portant sur les techniques de combat employées par l’armée ukrainienne qui « mettraient en danger les populations civiles ». Au-delà du titre accrocheur, les conclusions dudit rapport s’avèrent être bien plus nuancées.