
« Je veux être libre de choisir mon mode de gouvernement. » Comment une idée née dans la tête d’un botaniste en Belgique au XIXe siècle a-t-elle irrigué la pensée politique jusqu’à l’ère de la communication globale ?
« Je veux être libre de choisir mon mode de gouvernement. » Comment une idée née dans la tête d’un botaniste en Belgique au XIXe siècle a-t-elle irrigué la pensée politique jusqu’à l’ère de la communication globale ?
Chaque mois, une sélection d’ouvrages essentiels à découvrir.
Dans une note inédite du Groupe d’études géopolitiques, Giuliano da Empoli propose de partir de la culture et de ces sept idées pour relancer l’Union.
L’ancien vice-ministre des affaires étrangères de la République populaire de Chine propose dans ce texte inédit sa vision sur la séquence Covid-19 et l’intensification de la rivalité avec les États-Unis. Une perspective essentielle pour comprendre la position chinoise.
La nouvelle lutte de classe est-elle territorialisée parce qu’elle est, d’abord, une lutte pour le côntrole du centre ? Le premier compte rendu en langue française de l’ouvrage du politiste américain conservateur Michael Lind.
Face aux tensions à l’œuvre au sein de l’Union Européenne, Pascal Lamy appelle à la fondation d’une véritable anthropologie européenne. Il est temps de dépasser les enjeux strictement économiques et supra-politiques pour construire un récit commun.
Pour l’ambassadeur français à Damas la guerre de Syrie doit être comprise « dans l’ombre portée de la Guerre d’Espagne » : les nouveaux mouvements autoritaires se sont nourris des violences de la guerre civile et de l’inaction des démocraties voisines pour leur préparer un coup potentiellement létal.
Pour comprendre le populisme, il faut partir de la notion de style. L’introduction signée Gressani de notre dernier livre explique comment.
Nous nous entretenons des crises qui nous entourent avec le sociologue et philosophe Edgar Morin. Le promoteur de la pensée complexe nous expose son histoire personnelle et son idée de l’Europe, ses vues sur l’écologie et sur l’avenir, et revient sur les principaux jalons de son œuvre. À quelques jours de la sortie de ses Mémoires, ce grand entretien dresse le portrait d’un homme hors du commun.
La démocratie est malade. Prenant ce constat au sérieux, Luigi di Gregorio part des symptômes de ce mal pour en traquer les causes. À l’ère du sensationnalisme et de l’émotion-reine, les démocraties sont suspendues au temps court, et les leaders sont devenus des suiveurs.