
Branko Milanović répond à la critique parue sur Médiapart de son dernier ouvrage, Capitalisme, sans rival (La Découverte, 2020), en ouvrant le débat.
Branko Milanovic est un économiste serbo-américain spécialiste de l’inégalité au niveau mondial, dont son dernier livre Global Inequality (Harvard University Press, 2016) est une des meilleures études empiriques. Il a également travaillé sur la Russie dans les années 90 à l’occasion de la publication du rapport de la Banque mondiale sur la transition des pays de l’Est.
Branko Milanović répond à la critique parue sur Médiapart de son dernier ouvrage, Capitalisme, sans rival (La Découverte, 2020), en ouvrant le débat.
Depuis la fin de la Guerre froide, le capitalisme n’a plus de rival. Néanmoins, il s’est scindé en deux espèces : un capitalisme méritocratique libéral, mené par les États-Unis, et un capitalisme politique, mené par la Chine. Plus que deux États, ce sont deux modèles qui s’affrontent aujourd’hui dans une guerre d’attractivité.
Une leçon essentielle pour comprendre le conflit que nous allons commémorer, avec l’interprétation méconnue des causes de la guerre d’Avner Offer.
L’exemple du football illustre à la fois les promesses et les dangers de la mondialisation.
Pourquoi l’Europe de l’Est refuse-t-elle les migrants ? La perspective de Branko Milanovic.
Branko Milanovic retranscrit dans cet article émouvant qui est une critique de Postwar de Tony Judt sa mémoire d’une histoire restée sans auteur.
Les démocraties illibérales au-delà des valeurs qu’elles prétendent défendre, tiennent sur le partage du butin.