Résultat pour : trump


Il s’agit de l’une des tendances les plus structurantes de la vie politique américaine  : tandis que la part des hommes de 18 à 29 ans s’identifiant comme étant libéraux est restée stable depuis 2000, celle des femmes est passée de 29 à 40  %. Le 5 novembre, les deux-tiers de ces dernières devraient voter pour Kamala Harris, tandis que Trump pourrait remporter près de 60  % du vote des hommes appartenant à la génération Gen Z.

La Caroline du Nord est, aux côtés de la Géorgie, le principal swing state du sud-est du pays et l’un des États les plus compétitifs à l’échelle nationale. Tandis que les sondages d’intentions de vote ne permettent pas de dégager de favori pour le scrutin du 5 novembre, les récents changements démographiques de l’État ainsi que les dégâts provoqués par l’ouragan Helene permettent de faire émerger des tendances.

Dans un entretien de fond, le ministre de la défense de l’Estonie Hanno Pevkur s’oppose fermement aux appels à un cessez-le-feu et à des pourparlers de paix tant que l’Ukraine n’aura pas atteint ses objectifs stratégiques.

Il plaide pour une approche commune des dépenses de défense au niveau de l’Union.

Selon un sondage récent du Public Religion Research Institute, 61  % des électeurs républicains sont d’accord avec l’affirmation répétée à de multiples reprises par Donald Trump selon laquelle «  le sang des migrants empoisonne notre pays  ». Depuis quelques semaines, la rhétorique anti-migrants du candidat républicain s’est davantage durcie, celui-ci envisageant un plan visant à déporter plusieurs millions de personnes au cours d’un éventuel second mandat.

Le président américain Joe Biden est aujourd’hui, vendredi 18 octobre, en Allemagne pour participer à une réunion sur l’assistance à l’Ukraine et le plan de victoire de Zelensky aux côtés d’Olaf Scholz, Emmanuel Macron et Keir Starmer. Après avoir présenté les détails de celui-ci ces dernières semaines au cours d’entretiens, cette rencontre devrait donner lieu à des discussions sur ce que les dirigeants occidentaux sont prêts à donner à Kiev.

Un vent de panique parcourt actuellement le Parti démocrate, qui craint de perdre le soutien d’une partie de son électorat historique, particulièrement les hommes afro-américains, lors du scrutin du 5 novembre. À y regarder de plus près, et alors que les intentions de vote stagnent pour les deux candidats depuis fin juillet, peu d’éléments tangibles permettent – pour le moment – de soutenir que Kamala Harris est effectivement en train de perdre pied.

Dans une conversation avec le Grand Continent, l’ancien vice-président de la Banque centrale européenne, Vítor Constâncio, évoque les défis auxquels l’Europe est confrontée. Il appelle à une plus grande marge de manœuvre budgétaire et plaide en faveur d’un actif européen sûr dans la lignée des propositions de Mario Draghi.

Aujourd’hui, un prix Nobel de chimie a été décerné au co-fondateur de DeepMind, l’un des pères de l’intelligence artificielle, Demis Hassabis.

Son parcours n’est pas seulement un révélateur des lignes de fractures de la géopolitique de l’IA. Pour l’Europe, le pari d’Hassabis met au jour la plus grande force et la plus grande faiblesse d’une Union capable de produire et d’attirer les talents — mais pas de financer les projets les plus révolutionnaires.