Résultat pour : la chine


Elle a déjà fait éclater le discours politique en Allemagne.

Elle pourrait demain faire dérailler l’élection et le prochain cycle politique allemand.

De son interview à rallonge avec Elon Musk à la hype étonnante dont elle jouit en Chine — nous avons sélectionné 10 phrases clefs pour brosser un portrait de la cheffe de file de l’extrême-droite allemande.

Mardi 18 février a eu lieu la première rencontre entre la délégation américaine et une délégation russe à Riyad, en Arabie saoudite, pour entamer les négociations sur la fin de la guerre russe en Ukraine.

La composition des équipes désignées par Trump et Poutine pose un constat clair  : la délégation américaine, choisie pour sa loyauté envers le président américain, accuse un net déficit d’expérience en matière de négociation et de connaissance du dossier. Le président russe a quant à lui choisi des diplomates d’expérience habitués des élites américaines.

Federico Fubini en est persuadé  : dans toute sa rhétorique impériale, l’Amérique de Donald Trump a un talon d’Achille qui la rend bien plus faible qu’elle ne le paraît.

Depuis un mois cette faille est là, sous nos yeux. Personne n’en parle.

Pourtant elle explique pourquoi le président américain applique une doctrine de coercition économique encore largement méconnue — celle de son conseiller économique Stephen Miran — qui vise à éroder la souveraineté de l’Europe en ciblant le cœur même de la zone euro.

Entretien.

Périphérique mais rattachée à l’espace économique européen  ; peu peuplée mais riche en ressources  ; sans armée mais membre de l’OTAN — après le Groenland, l’Islande est l’un des pays aux avant-postes face aux menaces de Trump.

Alors que l’Arctique est revenu au centre du jeu à travers les convoitises impériales de Washington sur le Groenland, nous rencontrons la première ministre islandaise Kristrún Frostadóttir.

De la nomination de l’antivax Robert F. Kennedy Jr. à la tête du ministère de la santé en passant par le retrait de l’OMS et la suppression d’USAID par Elon Musk, les États-Unis de Donald Trump sont en train de mettre gravement en danger la santé de millions de personnes à l’échelle mondiale.

Dans une étude fouillée, Louis-Charles Viossat passe en revue le bilan d’un mois d’action systématique depuis l’investiture du président américain pour saper les fondements de la protection sanitaire mondiale.

Trente jours après son entrée à la Maison Blanche, la cote de popularité de Trump s’arrête à 46,6  %.

Le pays reste toutefois fortement polarisé  : un socle dur de 34  % des personnes interrogées dit soutenir la plupart de ses politiques alors que 24  % des Américains aucune.

La politique d’expansion territoriale du président américain obtient des résultats élevés au sein du parti Républicain  : 72  % se dit favorable à l’annexion du canal de Panama, 57  % du Groenland, 42  % du Canada et 34  % de Gaza.

En un peu moins d’un mois, l’administration Trump a détruit l’un des outils les plus puissants des États-Unis  : l’aide au développement.

Ce choc mondial doit être une opportunité.

Pour l’Union et ses États membres, le temps est venu de mettre le développement au service de la puissance.

Après les paroles de Sergio Mattarella contre «  la vassalisation heureuse  », l’ancien président du Conseil italien et banquier central a prononcé hier à Bruxelles un discours clef  : un manifeste européen dans l’ère Trump.

Cet appel à l’action part d’un impératif  : «  nous devons être optimistes  ».

Et d’un cap  : «  il est de plus en plus évident que nous devons agir comme si nous étions un seul État.  »

Nous le traduisons.