![Couverture CR livre Emmanuel Carrère Yoga : l'abandon de l'autofiction ? littérature française dépression autobiographie](https://legrandcontinent.eu/fr/wp-content/uploads/sites/2/2020/10/capture_decran_2020-07-09_a_13.12.42_5f06fbd32f8d1-125x188.png)
L’écrivain Vincenzo Latronico a lu le dernier Carrère. Pour lui, le fondu rose de Yoga signe peut-être la fin du chemin autofictionnel.
L’écrivain Vincenzo Latronico a lu le dernier Carrère. Pour lui, le fondu rose de Yoga signe peut-être la fin du chemin autofictionnel.
Aujourd’hui, les ministres européens de la santé se réunissent par visioconférence. Le retour de la croissance du nombre de cas et du nombre de décès a entraîné la mise en place de mesures de nouvelles mesures de restriction sur l’ensemble du continent.
Le gouvernement a eu six mois. Six mois pour préparer une seconde vague non seulement possible, mais probable, déjà visible ailleurs, et que d’aucuns annonçaient dès les premiers jours de mai. Que s’est-il passé pour que nous en arrivions à un deuxième confinement national ? Une perspective d’Antoine Levy.
Aux États-Unis comme en Chine, en Europe comme en Russie, l’avenir des décideurs politiques est désormais entièrement tributaire de leur capacité à contrôler l’épidémie de Covid-19 et à en limiter les conséquences économiques et sociales. Dans son nouvel ouvrage, La Guerre des récits, la journaliste Christine Ockrent analyse les récits que les dirigeants des grandes puissances mondiales s’attachent à construire depuis le début de la crise sanitaire pour justifier leurs décisions auprès de leurs opinions publiques et au-delà.
Comprendre la situation géopolitique de la Turquie n’est pas seulement analyser les manœuvres de Recep Tayyip Erdoğan en Méditerranée orientale, c’est encore comprendre de quels ressorts et de quels mythes sont faits les récits qui les sous-tendent.
Le Bureau de l’économiste en chef de la Banque mondiale pour la région Afrique a livré un rapport sur l’impact de la Covid-19 sur l’Afrique et les politiques que le continent doit mettre en œuvre pour retrouver la croissance. Les banalités des constats et des propositions rejoignent la faiblesse de l’analyse statistique. Tout cela ne serait pas bien grave si les erreurs de stratégie économique n’avaient pas des conséquences terribles en matière de pauvreté et de faim.
Après une éclipse de plusieurs décennies, les asymétries structurantes font leur grand retour. Dans cette situation, les économistes doivent apprendre le langage de la géopolitique. Selon Jean-Pisani Ferry, il est d’autant plus nécessaire de développer une Union géopolitique dans un système de gouvernance mondial devenu caduc.
Sous le règne de Sars-Cov-2, le monde semble se comporter « comme un virus » : entre crise de conscience et défaut de ressources spirituelles, le système des sociétés humaines est attaqué de toute part. Jean-François Bouthors propose une lecture nancéienne de la crise.
À l’heure de la pandémie mondiale et alors que plusieurs systèmes s’essayent à la survie, la vieille question de la meilleure forme de gouvernement a fait son grand retour.
Comment une société préparée au risque et dépendante d’un écosystème technologique crée-t-elle de l’imprévisibilité ?
Dans son nouveau livre, Raffaele Alberto Ventura nous emmène dans le paradoxe que le coronavirus pose à notre civilisation.