
Lorsqu’elle descend en train vers Vico Equense depuis son université de Cambridge, Helen Thompson a toujours un ou deux volumes de Roberto Calasso dans sa valise.
L’été dernier, elle a lu Moby Dick en regardant la mer.
Depuis son premier contact avec le Vesuve — « à douze ou treize ans » — il ne l’a jamais quitté.
Pour l’économiste anglaise, la baie de Naples a été « un point de départ symbolique ».