Nous avons lu L’impossible paix en méditerranée de Boris Cyrulnik et Boualem Samsal.
Lors du rassemblement annuel de la Ligue du Nord à Pontida en juillet dernier, Matteo Salvini a fait clairement connaître ses ambitions euronationalistes. Lynda Dematteo, anthropologue au CNRS et spécialiste de la Ligue du Nord, a analysé pour Le Grand Continent ce discours.
Selon Kojève, la France devait se placer à la tête d’un nouvel “empire latin” pour maintenir sa position dominante face à l’inévitable montée en puissance d’une Allemagne. Qu’est devenu ce projet de coalition méditerranéenne aujourd’hui ?
« Je crois que les Italiens ont finalement compris que l’histoire a recommencé en Occident, et que toutes les batailles politiques qui auront lieu seront très différentes de celles qui ont été livrées dans les trente dernières années, pendant lesquelles il s’agissait surtout de choisir entre deux versions similaires, une un peu plus à droite, l’autre un peu plus à gauche, de la même vision du monde »
À la veille des élections turques, le GEG Méditerranée propose une analyse plurielle de leurs implications géopolitiques.
Alors que les élections turques approchent à grands pas, que nous révèle la vogue des séries « ottomanes » de la géopolitique de Recep Tayyip Erdoğan ?
Le ministre des Affaires étrangères du tout nouveau gouvernement formé par Pedro Sanchez en Espagne nous a livré sa vision de l’avenir politique de l’Europe.
Henry Laurens est Professeur au Collège de France, où il occupe la chaire d’histoire contemporaine du monde arabe. Ses derniers ouvrages se sont focalisés sur les crises qui ont agité le Moyen-Orient au cours de 150 dernières années, y compris la question palestinienne, qui a fait l’objet d’une série de cours donnés au Collège de France.
Le sens général des élections italiennes reste à déterminer. Mais si l’on étudie la formule politique du vrai vainqueur, le Mouvement 5 étoiles, apparaît un point focal : bienvenue dans l’ère du techno-populisme.
En Italie on a cru voir arriver Le Pen — aura-t-on Macron ? Comment le Movimento Cinque Stelle pourrait se normaliser et, sous son écorce populiste, être prêt à mettre en œuvre un agenda technocratique.