
« Simple » fin de règne à Caracas ? Conflit de la nouvelle guerre froide ? Au fond, comment caractériser cette crise protéiforme ? La réponse est tout sauf évidente. Voici 10 points pour disposer de quelques données essentielles et de quelques pistes de réflexion.

Les États-Unis connaissent actuellement la période de shutdown la plus longue de leur histoire. Résultat notamment d’une scène politique polarisée autour de la question de l’immigration.

Les élections de Donald Trump et Jair Bolsonaro ont déclenché une recomposition géopolitique continentale et entraîné l’émergence d’un axe évangélique réconciliant les deux puissances autrefois rivales. Cette convergence croissante est le produit d’un évangélisme qui bouscule les structures politiques traditionnelles.

Lors de son investiture, le Président élu Jair Bolsonaro a prononcé deux discours. Nous traduisons ici le premier d’entre eux : les mots et la rhétoriques mobilisés sont autant de signes avant-coureurs de la politique ultra-conservatrice qu’entend mettre en œuvre le nouveau président brésilien.

Que nous révèlent les ennuis judiciaires et l’emprisonnement de Lula des mutations de la violence politique au Brésil, pays de plus en plus enclin à la « judiciarisation de la politique » ?

À la veille des primaires en Argentine, lors desquelles la question de l’avortement occupe une place centrale, le Grand continent montre comment les militantes et militants favorables à la légalisation de l’IVG dans ce pays ont réussi à déplacer le débat, du champ de la morale à celui des politiques publiques sanitaires.

Les États-Unis sont entrés dans une nouvelle ère, dont nous reconnaissons encore mal l’impact historique qui s’appuie sur une vision cohérente, théorisée, systématisée de la guerre par la contre-insurrection

Pour la première fois en français, le texte source de Capital et idéologie le nouveau livre de Thomas Piketty qui paraitra le 10 mars en anglais.