
La crise du coronavirus a semblé être l’occasion d’évaluer les mérites respectifs des régimes démocratiques et dictatoriaux. Et pourtant, pour Michel Wieviorka, il faut dépasser cette opposition stérile pour étudier le rapport que les sociétés humaines entretiennent avec l’idée de progrès pour comprendre pourquoi les gouvernements et les populations réagissent de manières différentes à l’épidémie.