Avec l’aggravation de la crise énergétique liée à l’approvisionnement du continent européen ainsi que les conséquences causées par les vagues de chaleur ces dernières semaines sur la production d’électricité, le prix du mégawattheure sur les marchés ne cesse d’augmenter.

Hier, l'Agence pour la qualité de l'air de l’État de Californie a approuvé un règlement visant à mettre fin à la vente de véhicules à moteur thermiques d’ici 2035. Cette décision, venant de l’État américain le plus riche et le plus peuplé, pourrait inciter d’autres États à s’engager dans cette direction.

Le mois dernier, le rapport démographique des Nations unies anticipait une hausse de la population mondiale qui atteindrait 10 milliards à la fin du siècle. Cependant, le déclin global du taux de fécondité laisse penser que ce scénario devrait être considérablement revu à la baisse, conduisant à une diminution de moitié de la population actuelle d’ici 2100.

Hier, l’armée américaine a mené des frappes aériennes de précision visant des groupes armés soutenus par l’Iran présents sur le territoire syrien. Cette séquence intervient alors que Biden doit se prononcer sur les conditions d’un retour à l’accord sur le nucléaire iranien.

Depuis maintenant plus de 70 jours, une vague de chaleur d’une durée, d’une ampleur et d’une intensité jamais observée auparavant frappe une grande partie du territoire chinois. La sécheresse qu’elle provoque pèse lourdement sur l’économie du pays, déjà affaiblie par l’effondrement de son marché immobilier et par les conséquences de la politique zéro-Covid.

L’Allemagne est le pays européen qui souffre le plus de la crise de l’énergie. En se rendant au Canada, le chancelier Olaf Scholz avait un objectif principal : renforcer le partenariat énergétique entre les deux pays afin de se détacher progressivement des importations russes.

Depuis le début de la guerre en Ukraine, la Turquie occupe une position d’équilibriste, alternant entre des discussions avec ses alliés occidentaux et la Russie de Poutine. Si Erdoğan joue sur les deux fronts, l’augmentation nette des échanges entre Ankara et Moscou indique toutefois que le conflit russo-ukrainien peut également être synonyme de profits pour la diplomatie turque.

La question est contre-intuitive tant elle peut paraître grotesque, et pourtant certains sondages indiquent que les derniers scandales judiciaires en date de l’ex-président américain Donald Trump resserrent sa base électorale autour de lui. Dans le même temps, ils lui font également gagner beaucoup d’argent.

Mercredi, tandis que l’Ukraine célébrera sa fête nationale, marquant les 31 ans de son indépendance vis-à-vis de l’URSS, cela fera également six mois depuis le début de l'agression russe. Alors que les combats semblent se stabiliser et que la Russie se prépare à une guerre longue, le régime de Vladimir Poutine dispose-t-il du soutien de sa population ?

Au cours des premiers mois du conflit, les pays et les institutions européennes ont grandement contribué au soutien de l’Ukraine en apportant à Kyiv une assistance financière, militaire et humanitaire. Toutefois, durant le mois de juillet, ces aides ont drastiquement chuté, soulevant la question de la viabilité de cette politique d’assistance à long terme.